mercredi 6 juillet 2011

Un étonnant verdict ?

Un des procès les plus médiatisés de l’histoire du Québec contemporain vient de se terminer. Le verdict attendu de la part d’un jury de citoyens a eu l’effet d’une véritable bombe à en lire les innombrables réactions laissées par les internautes dans les différents médias. De cette histoire qui gravite autour de l’horreur absolue, il importe de savoir que 2 jeunes enfants ont été froidement assassinés par leur père. En vertu des principes élémentaires communément admis en droit, ce geste démentiel proprement criminel doit être sanctionné, ne serait-ce que pour préserver la confiance aujourd’hui bien chancelante du public envers l’institution de la justice. Au terme d’un long exercice se déroulant devant un jury de citoyens dûment instruit en fait et en droit, composé d'une majorité de femmes, faut-il encore préciser, le Dr Guy Turcotte a été reconnu non criminellement responsable du geste pourtant admis et ce après plus de 5 jours de délibération.
Ce verdict a eu l’effet d’un véritable coup de tonnerre dans le ciel livide de la modernité décadente…
Au lendemain de cette étonnante décision, la justice devrait maintenant s’intéresser de plus près au rôle exercé par la mère des enfants sacrifiés dans ce drame afin d’en élucider les tenants et aboutissants. Dans une société qui reconnaît en principe la primauté du droit, il devient prioritaire de déterminer la part de responsabilité de cette femme dans cette tragédie, notamment en raison de la frivolité de ses comportements irresponsables et du harcèlement criminel affiché à l'égard du père des enfants qui s’est vu doublement trahi, à la fois par sa conjointe et celui qu’il croyait à tort être un ami. En outre, une telle analyse aurait l'avantage non négligeable d'envoyer un signal non équivoque à ces femmes endoctrinées qui adhérent sans discernement aux valeurs perverses véhiculées par une idéologie déviante qui prône la déresponsabilisation et l’immoralité débridée.
Rappelons ici comment cette mère de jeunes enfants a, de son libre arbitre, décidé soudainement de sauter la clôture et d’aller batifoler allègrement avec le premier chaud lapin à croiser sa route en se moquant éperdument des conséquences d’une telle étourderie sur son entourage, à commencer par le conjoint, le père des enfants. Dans les sociétés qui adhèrent encore à des valeurs intègres relatives à la fidélité et l’importance fondamentale d’une famille unie dans la vie et l’équilibre psychologique des enfants en devenir, ce geste irréfléchi lui aurait valu à juste titre l’opprobre social, voire la lapidation dans le pire des cas. Au Québec, ces comportements déviants représentent malheureusement la norme qu’il faudrait accepter sans coup férir sous le couvert de la modernité.
Si le meurtre sordide de ces enfants innocents devait nous permettre de nous débarrasser de l’influence délétère du féminisme mesquin, leur sacrifice n’aura pas été vain… En expédiant Isabelle Gaston derrière les barreaux, la justice nous enverrait collectivement un puissant message visant à redorer le blason de cette institution galvaudée mais pourtant essentielle à la pérennité de toute société, la famille traditionnelle constitué d’un Papa, d’une Maman et de lumineux enfants. La recette a traversé avec succès l’épreuve des siècles ; elle devrait également surmonter les écueils semés récemment sur son chemin par des idéologues pervers. Voilà le souhait que cet étonnant verdict nous permet aujourd’hui de formuler… 

URL court : http://bit.ly/1eEJ2hm

6 commentaires:

Line a dit...

Eh à en croire ta belle idéologie voulant faire porter le blâme à la mère toutes personnes trompées serait justifiées de tuer leurs enfants compte tenu de la souffrance encourue.
Si toutes les femmes trompées et ce depuis la nuit des temps avaient tué leurs enfants ça ferait longtemps que le monde n'existerait plus.

C'est bien beau de vouloir inculquer les valeurs de la famille aux femmes, mais faudrait-il aussi l'inculquer aux hommes.

bisbilloe100 a dit...

@ Line
Au Québec, les femmes peuvent mentir sous serment en toute impunité et bénéficier de la complicité de la magistrature pour couvrir leurs méfaits. http://j.mp/evX2IN



Au Québec, les femmes peuvent tromper leur conjoint et expédier ce dernier en prison pour couvrir leur méfait http://j.mp/hsTTgs



Alors, n’importe quel homme avisé de l’état des lieux à qui l’on fait miroiter la possibilité d’une saga judiciaire au cours de laquelle il a l’assurance d’être privé de l’accès à ses enfants, de l’accès et la jouissance de ses biens, au cours de laquelle il est assuré d’engloutir des sommes astronomiques en honoraires professionnels indécents pour en être réduit au terme de l’exercice en un état de servitude économique peut assurément perdre la raison et en venir à poser des actes insensés car la machine judiciaire d’une corruption sans nom lui inflige une violence institutionnelle sans aucun droit de recours.



Si les petits juges crapuleux qui officient à la basse-cour du Qc avaient l'initiative d'effectuer leur travail conformément à leur serment d'office, quantité de ces drames humains disparaîtraient des fils de presse. En pareil cas, le Québec ne figurerait pas non plus parmi les champions toutes catégories confondues du suicide masculin et ce de par le vaste monde, un trophée que bien peu de nations sont disposées à nous ravir !

Fraddé a dit...

Il y a également l’hypothèse où Turcotte aurait, depuis un certain temps déjà, toléré la relation entre sa femme et son amant, car dans le fin fond, Turcotte était amoureux de l’amant. Paraît-il que l’amant devenait de plus en plus proche des enfants, ce qui, dans un premier lieu, aurait fait le grand plaisir de Turcotte, mais que tout se serait écroulé lorsque l’amant aurait dit clairement à Turcotte qu’il était 100% hétéro.

Ça serait l’élément clé pourquoi le gars aurait «pété les plombs», mais pas trop, pour être capable de préméditer toute l’affaire, et surtout, sa future défense.

Si cela s’avère vrai, on aurait là un homosexuel sanguinaire ayant un double-meurtre sur la conscience, avec une «conjointe» débile et irresponsable, et un amant (homme!) inaccessible à jamais. C’est une des hypothèses qui expliquent la décision plus qu’étrange de la mère, de ne pas vouloir aller plus loin dans les procédures judiciaires. Rappelons ici que ce sont ses deux enfants, à elle aussi, qui ont été sauvagement poignardés …

Ouais, en parlant de moralité et d’un modèle familial … hmm hmm

Fraddé

Josick a dit...

Ce que je peux penser de cet idéal :
"...mais pourtant essentielle à la pérennité de toute société, la famille traditionnelle constitué d’un Papa, d’une Maman et de lumineux enfants."

Je le dis à travers ce post Les enfants, la maman, le père...

Anonyme a dit...

Est-ce que vous etes imbecile ou quoi?! Turcotte a tue ses 2 enfants, il va etre libre et vous essayez de dire que c'est la faute de sa femme?! Je comprends vos frustrations mais il y a des limites.

Anonyme a dit...

@ Fraddé 7/08/2011 05:36:00 PM

Cette homosexualité de Turcotte m'amène à penser que sa paternité lui a été imposée par la psychopathe Gaston.

Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001