Dans ce procès, une fois le jury libéré, profitant de la complaisance de Josée Grandchamp, en poursuite et bien sûr également à la solde du ministère public, la juge Sophie Bourque a eu le culot de renverser le verdict rendu par le jury. Incarcérée préventivement depuis plus d'un an dans cette affaire, l'accusé n'en croyait tout simplement pas ses oreilles. Par la suite, la juge Bourque a refusé catégoriquement toute demande d'entendre à nouveau le prononcé du verdict. Morale de cette histoire, qu'il y ait présence de jury ou non, la détermination de ces gens à détourner la justice de ses fins défie l'imagination.
Comme le hasard fait bien les choses, avant que Mme Bourque n'accède au trône, les chemins de ces deux comparses s'étaient déjà croisées. Mme Bourque bénéficiait alors de la générosité de son célèbre client, le pédophile Guy Cloutier, alors que Josée Grandchamp occupait en poursuite dans le même dossier.
Au terme de l'exercice : Cloutier est libre comme l'air, la juge Bourque et la procureure Grandchamp continuent de tourner en dérision l'institution qu'elles ont pourtant juré de servir avec rigueur et intégrité. En de telles mains, cette institution et toute la société qui la compose, évolue dans une culture de corruption qui met en péril ses fondements.
En réaction à cet article intitulé Le ministre des gaffes sous la plume de Serge Truffaut
En prime, les derniers développements dans l'Affaire Camille
Hermil LeBel
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