Réaction à l’article « OGM: du riz illégal est toléré » de Fabien Deglise du Devoir.
Ces simples tests sont à la portée de n'importe quel laboratoire spécialisé dans le domaine et seul l'aveuglement volontaire explique un tel laxisme. De nos jours, il semble d'ailleurs qu'il s'agisse d'un pré requis pour avoir le droit de mener les affaires de la cité. Résultats de ces politiques, nos infrastructures sociales s’effondrent plus rapidement que les structures urbaines.
Le pouvoir accordé aux lobbies est si intense que les groupes de pression parviennent à faire trembler les gouvernements et leur faire adopter des politiques qui contreviennent aux lois de ce pays. L'influence des industries agro-alimentaire, pharmaceutique, pétrolière, des ordres professionnels et des féministes d'État s’infiltre comme des parasites qui soudoient le politique et accablent le judiciaire, et finissent par tourner en dérision les institutions de ce pays.
Dans le cas précis des féministes d'État, la situation est d'autant plus absurde que ce lobby est entièrement financé par le trésor public! Examinons maintenant ses effets pervers à travers la corruption judiciaire.
Dernièrement, cette femme a complètement été exonérée d’un crime violent par un petit juge de la cour dite supérieure parce que les représentants du Ministère Public avaient enfreint à 4 reprises ses droits fondamentaux protégés par la Charte. Un traitement en tout point semblable est servi quotidiennement à des centaines d'hommes sans jamais soulever l'indignation de la moindre cour.
Peut-être la tenue d'un tel procès durant l’abrutissante campagne de propagande menée par l’État Québécois en indisposait quelques unes. Le monde juridique étant lourdement assujetti à l'idéologie sous-jacente, il ne faut pas s'étonner que les ordres soient arrivés si rapidement!
D'autre part, la publicité gouvernementale est discriminatoire, haineux et sexiste.
Par médias interposés, cette propagande gouvernementale représente une forme subtile de violence collective, publique et massive, un geste dégradant envers une grande partie de la population, les hommes.
La violence existe en effet et il importe de la dénoncer.
En donnant à la violence le visage d’un homme, la campagne ignore la moitié du problème.
L’image de l’homme projetée sur toutes les tribunes est celle d’un homme définit comme un être violent.
Méfiez-vous de l’homme. Parfois, il se métamorphose en brute incontrôlable.
L’image du père projetée à nos enfants est celle d’une brute.
Méfiez vous du père. En lui sommeille un monstre.
La violence au féminin existe. Souvent plus subtile, elle peut être tout aussi efficace et dévastatrice.
Il faut dénoncer toute forme de violence, si nous aspirons à une société qui prône l’égalité réciproque.
En banalisant la violence faite aux hommes et en racontant des sornettes dans les médias, la ministre St-Pierre contribue à exacerber la guerre entre les sexes.
Mais au profit de qui cette démocratie est-elle administrée?
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