D’hier à    aujourd’hui, les régimes menés sous la botte de tyrans nous ont familiarisés    avec des procédures d’exactions dans le cadre de simulacres de procès dignes de Kafka. Un article publié dans la Presse du samedi le 9 juin    2007 (voir le texte à la fin) nous documente une fois de plus, et sans l’ombre d’un doute, que certains    collaborateurs de cet organe de désinformation qu’est devenu l’empire    GESCA ont depuis longtemps    abandonné le métier de journaliste au service de l’information. Des propos    calomnieux et profondément malhonnêtes comme ceux attribuables à Christiane    Desjardins les cantonnent davantage dans le rôle de perroquets verbeux, complice d'actes criminels et    gracieusement mis au service d’une engeance judiciaire aussi complaisante que servile    qui officient au sein des tribunaux fantoches de cette    province.
Dans ses commentaires livrés en février 2003 à la cour d’appel du    Québec en relation avec précisément un dossier de fausses accusations, le juge    Jean-Louis Baudouin J.C.A. a précisé : « On doit constater d’ailleurs, avec    tristesse, qu’il est récemment devenu à la mode, dans certains dossiers    matrimoniaux, d’accuser le conjoint de ce type d’infraction pour bonifier les    chances de garde exclusive ». Pour sa part, le journal de Montréal, dans son    édition du 30 mars 2003, citait Me Jacques Larochelle en ces termes : « …    chaque fois que le système de justice accuse à tort, il perd un peu de    crédibilité et lorsqu’il condamne faussement une personne innocente, il se    dégrade de façon irréparable ».
Dans    la moquerie de procès relatée par Desjardins, le juge Jerry Zigman a démontré    qu’il n’avait absolument aucune réticence à tourner en dérision l’institution    qu’il s’était pourtant engagé à servir avec rigueur et intégrité lorsqu’il a    prononcé son serment d’office. Déshonorer ainsi sa profession témoigne d’une    inévitable ignominie qui projette un discrédit absolue sur l’ensemble de sa    communauté. Il n'y a décidément rien à l'épreuve du juge Zigman :    un constant mépris de la justice, des règles de procédure, dont l’obligation    de divulguer, du droit applicable, notamment celui de se représenter seul et    de bénéficier d’une défense pleine et entière au terme d’un procès juste et    équitable. De toute évidence, le juge Zigman n’a rien retenu des leçons    de l’histoire récente infligée à ses congénères. La bouffonnerie judiciaire    administrée par un digne représentant de la scène à ce père de famille n’a strictement rien à voir avec    la justice. L’exercice semble davantage destiné à punir un militant engagé    dans la défense des droits des pères de famille pour son implication dans un    mouvement social et populaire qui dénonce la corruption judiciaire livrée par Zigman et    questionne l’intégrité de la magistrature devenue une honte publique. Cette parodie de justice confirme    la pertinence du mouvement international connu sous le nom de Fathers-4-Justice, un mouvement en    constante progression.
L’histoire nous enseigne que les plus féroces    dictatures, dont l’Allemagne Nazi, finissent invariablement par s’effondrer un    jour. Rappelons les paroles de Nelson Mandela, lui qui a croupi 27 ans dans    les sordides cachots de l’Afrique du Sud avant d’apercevoir enfin le spectre    de la justice. « …Mais n’oubliez pas deux choses.    Vous ne pouvez pas gagner en raison de notre nombre: impossible de nous tuer    tous. Et vous ne pouvez pas gagner en raison de la communauté internationale.    Elle se ralliera à nous et nous soutiendra.» Au terme de son calvaire, il finira par    accéder aux plus hautes responsabilités de la république avant de décréter une    amnistie générale et absoudre ses tortionnaires.
    
Aujourd’hui, les pères de familles persécutés par ce régime    à la solde de la misandrie sortent de l’ombre en grand nombre et joignent les    rangs de Fathers-4-Justice. Les tribunaux fantoches de ce pays leur ont    enseigné la patience et ils savent décoder les leçons de l’histoire.
  
  
  
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Le samedi 09 juin 2007
Un membre de Fathers-4-Justice en prison pour attouchements
Christiane Desjardins
La Presse
L'appui de ses collègues de Fathers-4-Justice n'a pas été d'un grand secours pour un père de famille à qui la Cour vient d'infliger 23 mois de prison, après qu'il eut été reconnu coupable par un jury de contacts sexuels avec ses filles.
L'homme de 48 ans, dont on ne peut dévoiler l'identité pour protéger celle de ses enfants, s'est défendu lui-même pendant ce procès qui a duré un mois. Malgré le verdict, il crie toujours à l'injustice et se dit victime d'un coup monté sur fond de dispute pour garde d'enfants.
«C'est un fait de plus en plus connu qu'un homme blanc, nord-occidental, d'âge moyen, est considéré comme l'ont été dans le passé les Noirs ou les Juifs en Allemagne. C'est une chasse aux sorcières contre les pères de famille», a-t-il déclaré au juge Jerry Zigman, après sa condamnation. Il considère que les femmes, qui ont maintenant le «droit de travailler à l'extérieur et qui ont besoin des hommes pour s'occuper des enfants, ont développé de la jalousie». Elles inventent des preuves et des gestes coupables pour les punir, dit-il.
Quoi qu'il en soit, pendant que la procureure de la Couronne Nathalie Brissette demandait au magistrat d'imposer 30 mois de prison à l'accusé, ce dernier suggérait au juge de compenser l'erreur du jury en lui accordant une absolution inconditionnelle. Évidemment, cette requête est restée lettre morte auprès du juge, qui s'est plié à la décision du jury. Il a par ailleurs insisté sur le fait que les crimes contre les enfants doivent être sévèrement punis.
Les attouchements se sont produits à plusieurs reprises sur une période d'environ quatre ans, lorsque l'accusé avait la garde des filles, après la séparation, survenue en 1998. L'aînée avait entre 5 et 10 ans; la plus petite, entre 4 et 8 ans. Le père, parfois vêtu d'un simple short, avait l'habitude d'appuyer son pénis sur les parties génitales des petites à travers leurs vêtements. Il lui est aussi arrivé de s'étendre sur elles pour simuler une relation sexuelle.
L'une des enfants s'est plainte des attouchements à sa mère, qui en a fait le reproche à l'accusé. Selon la preuve, celui-ci lui a répondu que la petite exagérait et que «par-dessus les vêtements, ce n'est pas incestueux». Lors d'une perquisition, les policiers ont retrouvé dans l'ordinateur de l'accusé une cinquantaine de photos où l'on voyait l'une de ses filles dans des positions suggestives, avec zoom sur son entrejambe. Encore là, l'accusé a insinué que c'est la police qui a mis cette preuve dans son ordinateur.
L'accusé a aussi été déclaré coupable de voies de fait à l'égard d'une de ses filles. Il lui donnait des coups de poing à la tête quand elle était agitée ou parce qu'elle avait des problèmes à l'école. Le juge a imposé une peine de 21 mois pour les contacts sexuels et de deux mois pour les voies de fait.
«C'est un fait de plus en plus connu qu'un homme blanc, nord-occidental, d'âge moyen, est considéré comme l'ont été dans le passé les Noirs ou les Juifs en Allemagne. C'est une chasse aux sorcières contre les pères de famille», a-t-il déclaré au juge Jerry Zigman, après sa condamnation. Il considère que les femmes, qui ont maintenant le «droit de travailler à l'extérieur et qui ont besoin des hommes pour s'occuper des enfants, ont développé de la jalousie». Elles inventent des preuves et des gestes coupables pour les punir, dit-il.
Quoi qu'il en soit, pendant que la procureure de la Couronne Nathalie Brissette demandait au magistrat d'imposer 30 mois de prison à l'accusé, ce dernier suggérait au juge de compenser l'erreur du jury en lui accordant une absolution inconditionnelle. Évidemment, cette requête est restée lettre morte auprès du juge, qui s'est plié à la décision du jury. Il a par ailleurs insisté sur le fait que les crimes contre les enfants doivent être sévèrement punis.
Les attouchements se sont produits à plusieurs reprises sur une période d'environ quatre ans, lorsque l'accusé avait la garde des filles, après la séparation, survenue en 1998. L'aînée avait entre 5 et 10 ans; la plus petite, entre 4 et 8 ans. Le père, parfois vêtu d'un simple short, avait l'habitude d'appuyer son pénis sur les parties génitales des petites à travers leurs vêtements. Il lui est aussi arrivé de s'étendre sur elles pour simuler une relation sexuelle.
L'une des enfants s'est plainte des attouchements à sa mère, qui en a fait le reproche à l'accusé. Selon la preuve, celui-ci lui a répondu que la petite exagérait et que «par-dessus les vêtements, ce n'est pas incestueux». Lors d'une perquisition, les policiers ont retrouvé dans l'ordinateur de l'accusé une cinquantaine de photos où l'on voyait l'une de ses filles dans des positions suggestives, avec zoom sur son entrejambe. Encore là, l'accusé a insinué que c'est la police qui a mis cette preuve dans son ordinateur.
L'accusé a aussi été déclaré coupable de voies de fait à l'égard d'une de ses filles. Il lui donnait des coups de poing à la tête quand elle était agitée ou parce qu'elle avait des problèmes à l'école. Le juge a imposé une peine de 21 mois pour les contacts sexuels et de deux mois pour les voies de fait.
christiane.desjardins@lapresse.ca
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1 commentaire:
This is great info to know.
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