Bisbille 101 : Un père de famille en guerre contre la corruption institutionnelle et le mensonge d'État
samedi 18 avril 2009
La SPVM et la censure
À l’heure de la mondialisation et d’internet, nous croyons naïvement que l’information circule librement à l’abri des ciseaux de la censure. Sur ce blog, les internautes avertis ont déjà été témoins que Michaëlle Jean, représentante de la Reine au Canada, Françoise David, porte-parole de Québec Solidaire, Richard Desjardins, artiste, Henri Jacob, président de l'Action boréale, Serge Mongeau, écrivain, Roméo Saganash, Grand Conseil des Cris, Daniel Turp, ex-député péquiste de Mercier et Alexis Wawanoloath, ex-député péquiste d'Abitibi-Est Québec Solidaire (Solitaire ?) cautionnaient la censure.
Cette pratique digne des régimes les plus autoritaires ne sont pas moins présentes au sein de nos sociétés « démocratiques » comme nous le démontre l’exemple suivant. La vidéo supprimée du site DailyMotion après 316 visites appartient éminemment au domaine public dans la mesure où elle fut déposée en « preuve » dans un dossier en droit criminel au sein d’un appareil de justice qui prétend être transparent. Étant donné que cette vidéo met en scène des policières de la ville de Montréal et qu’elle révèle un aspect des plus sombres de leur travail de ripoux, ces policières SD Christiane Malenfant du Centre Opérationnel Ouest où la scène a été filmée et qui dirige l’entrevu, « un enquêteur formé au niveau des entrevues suggestives » selon sa collègue, la SD Annie Vigeant # 4350, responsable de « l’enquête » et Isabelle Maheux # 5193 PDQ 27 qui pour sa part a rédigé la fameuse déclaration écrite 2 semaines avant la capture vidéo et contredite par la requête en droit familialqui la produit, il y a fort à parier que la pression pour retirer l’enregistrement du Web émane de ces autorités.
Qu’est-ce que ces policières « FÉMINAZI » à l’œuvre au sein du SPVM ont tant à cacher au regard du public? Si elles ont tant honte de leur travail consistant à manipuler un enfant de 8 ans afin d’obtenir une déclaration destinée à incriminer son père, elles doivent désormais en porter l’odieux. Grâce à Internet, nous sommes maintenant en mesure d’exposer les manœuvres délictueuses de ces agents de police digne de la Gestapo en mission pour détruire la famille et par ricochet la société dans son ensemble.
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