Dans la présente dépêche, nous sommes informés que la Cour Suprême des États-Unis aura bientôt à se pencher sur l'épineux problème de la responsabilité civile des procureurs de la couronne quand leur travail déficient aura autorisé la perpétration d'erreurs judiciaires délibérées. Car, à observer le travail effectué par certains de ces officiers de justice, il est raisonnable de se poser la question à savoir "qu'est-ce qui les motivent intrinsèquement : la quête de justice ou des galons en route vers le banc de magistrat avidement convoité ?"
Dans cette histoire, il a été démontré que les procureurs de la couronne avaient délibérément dissimulé de la preuve pointant vers un autre suspect en plus de livrer de faux témoignages devant la cour, contribuant à expédier deux êtres humains, innocents sous tous rapports selon les conclusions d'une enquête ultérieure, à croupir 25 ans sous les verrous. Ces gestes dérogatoires de nature à miner la confiance du public envers l'institution ne sauraient être tolérés dans une société élaborée sur le principe de la primauté du droit.
Les citoyens doivent être égaux devant la loi. L'exigence de probité devrait être la plus élevée de la part des auxiliaires de justice. L'immunité accordée à ces fonctionnaires dans l'exercice de leurs fonctions judiciaires ouvre toute grande la porte au trafic d'influence et à l'échange de verdict complaisant en retour d'enveloppes brunes de la bonne épaisseur.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire