jeudi 29 novembre 2007

Juge fripon


Quels sont les intérêts qui motivent le juge Chevalier, la justice ou la vénalité?


Dans cette récente histoire publiée dans le journal de Montréal relative à une fraude à hauteur de $400,000, le juge Paul Chevalier fait bénéficier un fonctionnaire de Revenu-Québec du « doute raisonnable », malgré la présence d’une preuve qualifiée de « blindée ». Il s’agit pourtant de l'argent des contribuables, détourné au moyen de remboursement frauduleux de TPS et TVQ effectué au bénéfice d’une entreprise d’un proche du fonctionnaire ripoux et dont une partie revenait de manière illicite dans une autre entreprise appartenant à sa propre fille qu’il contrôlait sans le savoir

Dans cette autre affaire traitée par le juge Chevalier, une fraudeuse s'en tire avec une peine à purger dans la collectivité...

Dans l’Affaire Dumas, ce même juge fripon condamne sans l’ombre d’une preuve un justiciable, Gilles Dumas, et motive son « jugement » au moyen de faux semblants. Dans ce procès, Chevalier est impliqué jusqu’à la lie dans une machination destinée à priver l'accusé du droit réputé inaliénable à une défense pleine et entière en contribuant à lui dissimuler le seul élément de « preuve » disponible, soit la déclaration de la plaignante, dans le but de couvrir le détournement de justice auquel se livrent en toute impunité les procureurs de la couronne et les policiers.

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Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001