En ce début d’année 2009, et pour une quatrième fois en moins de trois mois, nous sommes témoins d’une autre famille décimée dans une scène dantesque. Quelle est donc la source d’une si grande détresse ? Pourtant, le PM Charest nous confiait tout récemment le souhait que le « Québec demeure le paradis des familles » au terme d’une grande opération de charme auprès de la population. S’agit-il d’un autre vœu pieux ?
Si le Québec représente réellement le « paradis des familles », il va falloir que quelqu’un trouve une explication au phénomène des plus paradoxaux, soit celui du taux astronomique des divorces ! La situation est à ce point endémique que nous sommes en présence d’une véritable industrie où s’activent pas moins de 12 000 avocats qui s’acharnent à détruire les fondements même de la société, la famille. En ce qui concerne le paradis, il faudra sans doute déménager sous d’autres cieux… Et nos élus, dont plusieurs sont également membres du barreau, demeurent muets comme des carpes à ce sujet pour ne pas nuire à cette industrie en plein essor.
Pour ajouter l’injure à l’insulte, les dossiers familiaux dont le tribunal est saisi comportent souvent en parallèle des allégations de violence domestique fabriquées de toute pièce et inévitablement déposées par l’instigatrice de la séparation. Cette manœuvre assassine, encouragée par les avocats peu scrupuleux, permet à la partie accusatrice de se maintenir en haut du pavé tout le long du processus judiciaire. Dans le cheminement du dossier criminel, le père mis en accusation sur une seule parole sans la moindre preuve d’une quelconque implication dans une activité criminelle, sera privé de l’accès à ses enfants, de la jouissance de ses biens, d’une portion substantielle de ses revenus et à n’en point douter de l’accès à la justice véritable.
C’est ainsi qu’un nombre croissant de citoyens en sont réduits à vivre dans un état de servage permanent, un étau dans lequel le désordre de la cour les maintient. Lorsqu’un état accepte qu’une partie de sa population soit à ce point privée du respect le plus élémentaire, il est raisonnable de s’attendre à ce que certains de ces êtres ostracisés réagissent de la manière la plus irrationnelle, à l’image de la justice kafkaïenne qui leur est servi par nos tribunaux fantoches. Voilà sans doute la véritable cause des drames familiaux qui viennent de ponctuer l’actualité. Il ne suffit pas d’éteindre les feux, il faut avant tout arraisonner les pyromanes.
Url court : http://bit.ly/13tmFG9
Si le Québec représente réellement le « paradis des familles », il va falloir que quelqu’un trouve une explication au phénomène des plus paradoxaux, soit celui du taux astronomique des divorces ! La situation est à ce point endémique que nous sommes en présence d’une véritable industrie où s’activent pas moins de 12 000 avocats qui s’acharnent à détruire les fondements même de la société, la famille. En ce qui concerne le paradis, il faudra sans doute déménager sous d’autres cieux… Et nos élus, dont plusieurs sont également membres du barreau, demeurent muets comme des carpes à ce sujet pour ne pas nuire à cette industrie en plein essor.
Pour ajouter l’injure à l’insulte, les dossiers familiaux dont le tribunal est saisi comportent souvent en parallèle des allégations de violence domestique fabriquées de toute pièce et inévitablement déposées par l’instigatrice de la séparation. Cette manœuvre assassine, encouragée par les avocats peu scrupuleux, permet à la partie accusatrice de se maintenir en haut du pavé tout le long du processus judiciaire. Dans le cheminement du dossier criminel, le père mis en accusation sur une seule parole sans la moindre preuve d’une quelconque implication dans une activité criminelle, sera privé de l’accès à ses enfants, de la jouissance de ses biens, d’une portion substantielle de ses revenus et à n’en point douter de l’accès à la justice véritable.
C’est ainsi qu’un nombre croissant de citoyens en sont réduits à vivre dans un état de servage permanent, un étau dans lequel le désordre de la cour les maintient. Lorsqu’un état accepte qu’une partie de sa population soit à ce point privée du respect le plus élémentaire, il est raisonnable de s’attendre à ce que certains de ces êtres ostracisés réagissent de la manière la plus irrationnelle, à l’image de la justice kafkaïenne qui leur est servi par nos tribunaux fantoches. Voilà sans doute la véritable cause des drames familiaux qui viennent de ponctuer l’actualité. Il ne suffit pas d’éteindre les feux, il faut avant tout arraisonner les pyromanes.
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1 commentaire:
Bienvenue au Québec! Oudevrais-je dire Malvenue si vous êtes un homme! Ici la haine sexiste à pignons sur rue et la bande de chipie au coeur sec du Conseil du statut divin de la femme veille sur le dogme et la bonne santé de la haine misandre. C'est le paradis y a pas de doute! Le paradis du suicide et de la déespérance! Merci les sorcières psychopathe!
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