Récemment, les médias nous informaient d’une bien curieuse affaire, soit cette adolescente Belge du nom de Kimberley Vlaemick qui affirmait s’être endormie lors d’une séance de tatouage et qui, à son réveil s’était retrouvée non pas avec les trois étoiles qu’elle avait demandées mais plutôt avec cinquante-six étoiles tatouées sur le visage. Cette histoire tout à fait surréaliste en a laissé plus d’un dubitatif. Une semaine après que cette nouvelle insolite a fait le tour du monde, nous sommes informés que l’adolescente a menti à son père et à l’ensemble de la planète pour éviter d’avoir à répondre de son choix devant son paternel amèrement déçu du résultat final.
Cette histoire illustre bien la mentalité hédoniste qui caractérise notre société décadente et la culture du mensonge qui l’accompagne. Depuis des décennies en effet, les femmes sont activement encouragées à mentir aux autorités en alléguant de la violence domestique par exemple afin de bonifier les chances de garde exclusive et tous les avantages monétaires qui accompagnent ce statut. Non seulement le mensonge est-il autorisé, mais il n’entraine jamais de conséquence pour son auteure. Dans l’affaire des étoiles, non seulement la petite menteuse ne sera pas puni, mais au contraire elle décroche un emploi de consultante en tatouage dans une boîte concurrente ! Disons que le message laissé à la jeunesse ne brille pas par excès de candeur…
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