Dans ces circonstances, que reste-il alors pour maintenir la motivation et continuer à vivre ?
Ce triste sort est partagé par des milliers d’hommes chaque année au Québec et ce dans l’indifférence la plus opaque. Il aura fallu escalader les structures avant que les médias daignent enfin mentionner leur présence et mais encore, ne l'ont-ils fait d’une manière condescendante et particulièrement biaisée.
À chaque jour au Québec, trois hommes s’enlèvent la vie, souvent au terme d’une séparation acrimonieuse.
Voilà la sinistre réalité dissimulée derrière cette nouvelle qui devrait nous alerter à propos de l'intégrité de l'institution de la justice.
Voilà pourquoi le mandat confié au commissaire Bastarache doit, au minimum, être bonifié.
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