Évidemment, ceux qui sonnent la cloche ( whistle-blower ) ont souvent à subir les foudres de l'organisation incriminée par le dévoilement de ses petits secrets nauséabonds. C'est ainsi que JJ Charest et ses juges ont entrepris une véritable vendetta judiciaire ciblée sur les pères de familles déchiquetés dans la « machine à broyer les hommes » qui osaient dénoncer la mafia judiciaire sur la place publique.
Maintenant que nous sommes informés du caractère partisan des nominations gouvernementales, une des recommandations de Bastarache devrait être à l'effet que cesse toute persécution par l'état Québécois à l'encontre des militants qui les premiers ont osé alerter l’opinion publique au sujet de la corruption judiciaire.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire