samedi 2 octobre 2010

Recommandation au commissaire Bastarache


En 2005, du haut du pont Jacques-Cartier, les militants de Fathers-4-Justice dénonçaient déjà la corruption judiciaire sans toutefois réussir à secouer les médias de leur état d'aveuglement volontaire. Les récentes révélations devant le commissaire Bastarache concernant l'influence de l'argent dans le processus de nomination des mandarins de l'État nous démontrent que les dénonciations de l'époque étaient pleinement justifiées.

Évidemment, ceux qui sonnent la cloche ( whistle-blower ) ont souvent à subir les foudres de l'organisation incriminée par le dévoilement de ses petits secrets nauséabonds. C'est ainsi que JJ Charest et ses juges ont entrepris une véritable vendetta judiciaire ciblée sur les pères de familles déchiquetés dans la « machine à broyer les hommes » qui osaient dénoncer la mafia judiciaire sur la place publique.


Maintenant que nous sommes informés du caractère partisan des nominations gouvernementales, une des recommandations de Bastarache devrait être à l'effet que cesse toute persécution par l'état Québécois à l'encontre des militants qui les premiers ont osé alerter l’opinion publique au sujet de la corruption judiciaire.

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Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001