Annonce officielle du commissaire par le ministre Robert Dutil
Robert Lafrenière serait nommé chefEntrevue de R. Lafrenière, nommé pour diriger l'Unité permanente anti-corruption à compter du 28 mars 2011 par Paul Arcand 98.5 FM
Entrevue de Lafrenière avec Dutrisac 98.5 FM 14/09/2011
Le travail de Robert Lafrenière selon la journaliste Isabelle Richer de la SRC 05/10/2011
Les médias nous révèle hier l'identité de la personne nommée pour diriger l'unité anti-corruption mise en place en substitut de l'enquête publique réclamée par plus de 80 % de la population. Il s'agit de Robert Lafrenière, sous-ministre au ministère de la sécurité publique et ancien policier de la SQ doté d'une longue feuille de route.Sans tache ? Rien n'est moins sûr...
Comme il fallait l'anticiper, ce sous-ministre libéral n'offre pas le profil d'intégrité requis pour occuper cette fonction. Depuis plus de 3 ans en effet, M. Lafrenière est dûment informé des agissements répréhensibles, voire criminels, attribués à certains agents de police de Terrebonne. Ces faits sont dénoncés à la SQ dans une plainte officielle déposée par M. Gilles Dumas le 31 août 2007. Les détails de cette saga judiciaire dont le Québec possède malheureusement le secret se retrouvent consignés dans ce qu'il a été convenu de nommer l' « Affaire Dumas »
Dans cette affaire, il est permis de se demander : « qui contrôle la police » ?
M. Lafrenière est parfaitement au courant du défaut très grave de la police de Terrebonne de se conformer à une obligation légale confirmée encore récemment par la cour suprême dans l'affaire Normand Dubé qui, comme le hasard fait bien les choses, implique précisément la police de Terrebonne.
Dans les deux cas, la police refuse de respecter les droits constitutionnels des citoyens en faisant délibérément entrave à la justice.
Dans les deux cas, la police refuse de divulguer la « preuve » accumulée dans un processus d'enquête ayant mené à des accusations autorisées en matière criminelle par un substitut de la couronne.
Cette « preuve » est à divulgation obligatoire conformément aux dispositions de l'arrêt Stinchombe et la commission d'accès à l'information n'a pas juridiction en cette matière.
À ce jour, aucune accusation n'a encore été autorisé contre les agents ou la direction de la police de Terrebonne malgré la prépondérance de la preuve documentaire confirmant hors de tout doute raisonnable l'acte d'entrave à la justice, soit la fameuse « déclaration statutaire de la plaignante ».
Autre coïncidence, c'est toujours ce même corps de police qui a fait parvenir au plaignant le document en question et ce après plus de 15 ans de délai. La déclaration fut glissée dans une enveloppe le 13 février, soit le lendemain de la présentation du mémoire de la Coalition pour la défense des droits des hommes du Québec en commission parlementaire à Québec.
Rappelons que M. Lafrenière a travaillé au bureau de Jacques P. Dupuis où Luigi Coretti, généreux donateur à la caisse du parti libéral et patron de la controversé agence de sécurité BCIA en faillite depuis lors, avait un accès particulier. Dupuis est disparu du paysage dans la foulée de l'inutile commission Bastarache.
Est-ce que M. Lafrenière obtient la note de passage au test élémentaire en matière d'intégrité et d'éthique ?
À parcourir les différents liens et et à la lecture attentive des documents qui s'y trouvent, il est raisonnable d'en douter...
URL raccourci http://bit.ly/gsE8GN
Dans les deux cas, la police refuse de divulguer la « preuve » accumulée dans un processus d'enquête ayant mené à des accusations autorisées en matière criminelle par un substitut de la couronne.
Cette « preuve » est à divulgation obligatoire conformément aux dispositions de l'arrêt Stinchombe et la commission d'accès à l'information n'a pas juridiction en cette matière.
À ce jour, aucune accusation n'a encore été autorisé contre les agents ou la direction de la police de Terrebonne malgré la prépondérance de la preuve documentaire confirmant hors de tout doute raisonnable l'acte d'entrave à la justice, soit la fameuse « déclaration statutaire de la plaignante ».
Autre coïncidence, c'est toujours ce même corps de police qui a fait parvenir au plaignant le document en question et ce après plus de 15 ans de délai. La déclaration fut glissée dans une enveloppe le 13 février, soit le lendemain de la présentation du mémoire de la Coalition pour la défense des droits des hommes du Québec en commission parlementaire à Québec.
Rappelons que M. Lafrenière a travaillé au bureau de Jacques P. Dupuis où Luigi Coretti, généreux donateur à la caisse du parti libéral et patron de la controversé agence de sécurité BCIA en faillite depuis lors, avait un accès particulier. Dupuis est disparu du paysage dans la foulée de l'inutile commission Bastarache.
Est-ce que M. Lafrenière obtient la note de passage au test élémentaire en matière d'intégrité et d'éthique ?
À parcourir les différents liens et et à la lecture attentive des documents qui s'y trouvent, il est raisonnable d'en douter...
URL raccourci http://bit.ly/gsE8GN
Aucun commentaire:
Publier un commentaire