Mes commentaires laissés sur Le Devoir sont toujours accompagnés d'éléments vérifiables contrairement aux propos de l'auteur d'un article tendancieux à l'origine de ce billet. Il n'est pas à l'honneur du Devoir de publier des propos qui véhiculent des stéréotypes sexistes, particulièrement lorsqu'ils sont commis par un professeur d'université. Sous l'influence d'idéologues ayant si peu de considération à l'égard de la réalité objective, nos jeunes sont à risque d'acquérir une vision colorée de préjugés grossiers.
La question de la rigueur au sein de la salle de rédaction du Devoir qui autorise la publication d'un tissus de clichés éculés en plus de priver intentionnellement son lectorat des donnés émanant de la recherche scientifique en pratiquant une censure gratuite mérite certainement d'être soulevée. S'enfonçant dans le déni, les couteaux de la censure ont maintenant coupé également les commentaires des lecteurs qui avaient réagi favorablement à mes propos. Cliquez sur l'image ci-joint avant de retourner dans le fil de commentaires pour constater l'étendu de leur fourberie.Voilà exposé une vérité honteuse à porter par une publication qui prétend être un fleuron de la liberté d'expression.
Les propos de Simon Lapierre professeur adjoint à l'École de service social de l'Université d'Ottawa font l'étalage d'un sexisme profond. La violence n'a pas de sexe. Tout le reste ne relève que de la vile propagande et de la désinformation. Après avoir fait un tel étalage d'une vision profondément biaisée sur la place publique, son aptitude à enseigner doit être sérieusement questionné.
L'ensemble des études rigoureuses produites indépendamment des groupes de femmes nous confirment que la violence domestique est un phénomène beaucoup plus nuancé que les éructations tendancieuses des féministes à la solde du trésor public nous le laisse penser. Ces idéologues patentés livrent sur la place publique une version tronquée de la société.
Selon une enquête psychosociale rigoureuse réalisée en 2000 par la Direction de la santé publique du Saguenay-Lac-Saint-Jean, 5,4 % des hommes ayant vécu avec une partenaire au cours des douze mois précédant la recherche auraient subi de la violence physique. Un taux dépassant largement les 2,4 % de femmes qui auraient été victimes de ce genre de sévices, lors de cette même période. Or, les résultats cette enquête furent littéralement dissimulés du regard public car ils contredisaient radicalement l’évangile féministe. Par contre, ces résultats surprenants sont corroborés par d’autres études scientifiques menées entre autre par Denis Laroche, chercheur à l’Institut de Statistiques du Québec qui confirme que « 3,9 % des hommes québécois et 2,9 % des femmes ont été victimes de violence conjugale de la part de leur conjoint actuel (en 1999). »
Il s'agit d'une mise au point nécessaire afin de remettre les pendules à l'heure face à ce discours déviant diffusé par les biens pensant de ce monde.
Url court : http://goo.gl/4CZVc
3 commentaires:
Le garçon invisible
relativement aux hommes abusés... tout enfant...
J'en fait parti.
Game Over !
Ils sont fondamentalement bons ! Il n'y a aucune raison de les critiquer... C'est perdre son temps
En effet :
L'humanité serait fondamentalement bonne.
En tout cas, c'est la conclusion "ambitieuse" que tire la revue technologique du MIT à partir d'une étude scientifique portant sur l'analyse des comportements humains à travers les mondes virtuels.
Pour ma part, je dirais : Confondre le troupeau humain avec l'humanité, c'est un raccourci un peu court qui conforte le forcément bon si vous êtes de gauche. D'exclure ceux qui ne pense pas comme vous et sont donc forcément mauvais. Il est évident que le groupe a tendance à s'auto-entretenir et va éliminer ceux qui pour lui présente un danger, une agression.
Des exclus, à considérer comme mort, j'en fait donc avec fierté partie. Je ne fais plus partie des joueurs de ce pays scélérat, pays de non-Droit (nature de l'infection du troupeau qui au fond ne respecte que la force, jamais le Droit).
En voici un autre exemple http://bit.ly/rWkHot
Voir les commentaires qui me sont adressés alors que mes propos ont été effacés sous les couteaux de la censure...
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