Société malade vous dites!
Les chambres à gaz mis à part, nous sommes présentement témoins de la mise en œuvre des recommandations du manifeste SCUM, un texte profondément sexiste et haineux, ce qui ne l'empêche nullement d'être l'objet de savantes exégèses dans toutes les facultés de sciences sociales qui hébergent un département d'études féministes!
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Or, l'existence d'un organisme comme le Groupe d'Intervention en Violence Conjugale chez les Lesbiennes,
toujours financé à même le trésor public, devrait nous mettre la puce à l'oreille. Surtout que le taux de violence conjugale chez les lesbiennes est carrément le double de celui qui prévaut au sein des couples hétérosexuels. Dans un tel contexte, l'actuelle politique d'intervention en matière de violence conjugale, adoptée sans débat public, et qui martèle inlassablement le stéréotype de l'homme agresseur et la femme victime, devrait être revue, voire abrogé.
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Rappelons que cette politique recommande l'arrestation sans mandat de l'homme, sans égard aux faits, et son expulsion immédiate du domicile familial dès qu'un appel alléguant une situation de violence familiale est logé au 911. En réalité, il s'agit d'un plan machiavélique, concocté par les promoteurs d'une forme de ré-ingénierie sociale, à la source de profondes injustices dont nos enfants sont les principales victimes.
Morbidité, quand tu nous tiens....
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