Le 19 mars 2002, le Parti conservateur du Canada publiait son programme politique, dans lequel au paragraphe 65, intitulé «partage des responsabilités parentales », il déclare: «Un gouvernement conservateur apportera les changements nécessaires à la Loi sur le divorce afin d'assurer qu’en cas de la rupture conjugale, la Loi sur le divorce permette aux deux parents et tous les grands-parents de maintenir une relation significative avec leurs enfants et petits-enfants, sauf s'il est clairement démontré qu’il ne s’agit pas du meilleur intérêt des enfants. "
Après avoir été élu, les conservateurs ont tout oublié au sujet de cette promesse faite à des milliers d'enfants canadiens et leurs familles.
Stephen Harper – en menant sa campagne en bon « père de famille », réfléchissant sur le précieux temps passé avec les enfants et précisant qu’être un père est la plus belle expérience de sa vie - ajoute l’injure à l'insulte. Désormais, il lui faut ajuster ses actes et ses paroles et démontrer qu’il est réellement concerné par la famille.
On March 19, 2002, the Conservative Party of Canada published its Policy Declaration, wherein at paragraph 65, titled "Shared Parenting," it states: "A Conservative Government will make the necessary changes to the Divorce Act to ensure in the event of a marital breakdown, the Divorce Act will allow both parents and all grandparents to maintain a meaningful relationship with their children and grandchildren, unless it is clearly demonstrated not to be in the best interests of the children."
After getting elected, the Conservatives forgot all about their promise to the thousands of Canadian children and their families.
Stephen Harper -- by campaigning as the "family man," reflecting on how precious the time that he spends with his children is and stating that being a father has been the best experience of his life -- has added insult to injury. It's time to walk the talk, family man.
Robert Waters, Victoria
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