"Quand vous voyez tout le fumier qui sort des écuries judiciaires, vous appelez ça la justice?"
Décidément, Réjean Tremblay, journaliste chevronné de la Presse, n'y va pas par quatre chemins pour fustiger les mauvaises actrices à l'œuvre dans la saga judiciaire imposée à Guy Lafleur. Est-ce à dire que le grand public commence enfin à se réveiller devant l'imposture quotidienne servie par les clowns facétieux drapés en toge de juge?
Cette liste des impairs attribuables à cette juge « féministe » n’a rien d’exhaustif. Pour clore ce sujet, même le dernier quidam qui n’a jamais mis les pieds dans une salle de cour sait que le verdict représente le moment crucial de tout procès, tout particulièrement lorsque la décision est rendue par un jury de citoyens. Or, lors de ce curieux procès présidé par Sophie Bourque, le public médusé constate que le verdict en question (à la minute 3.02 sur l’enregistrement) est… inaudible ??? De plus, contrairement à ce qu’enseignent la doctrine et la jurisprudence, la juge Bourque omet de répéter ce verdict, se contentant de l’entériner. Sachant que cette juge a passé 12 ans de sa vie à enseigner le droit à l’école du Barreau du Québec, cette grossière bourde ne peut avoir été commise par inadvertance.
La mode actuelle au sein de l’appareil gouvernemental consiste à lancer des commissions d’enquête à propos de tout et de rien. La justice étant le pivot central d’une société élaborée sur des principes de droit, le temps presse de mettre sur pied une véritable commission d’enquête sur l’administration de la justice au Québec. À défaut, le désordre procédural risque fort de s’installer en permanence avec les conséquences que l’on devine des plus néfastes pour l’ensemble de la collectivité.
1 commentaire:
Quand on est rendu à parler de ‘fumier des écuries judiciaires’ c’est que l’appréciation du résultat du disfonctionnement du système judiciaire est lamentable. Le citoyen est quadruplement floué premièrement parce que ceux qui en font partie ne cessent de piger dans la caisse par exemple les juges sous le faux prétexte d’indépendance, on piraté à la population des augmentations de salaire faramineuses, deuxièmement elle laisse s’échapper en toute impunité les véritables criminels, troisièmement elle s’acharne à poursuivre à la place les honnêtes citoyens qu’elle fraude en toute impunité souvent à l’aide de déni de justice intentionnels et quatrièmement elle devenu avec l’affaire Daniel Bédard voir google : acharnement judiciaire un outil politique inimaginable de harcèlement criminel par l’état.
Les coûts de la justice laissée entre les mains des juges et des procureurs de la couronne explosent. Le besoin essentiel en justice décrété par ces gens ne correspond pas à la vision sociale, la qualité et l’intégrité du service deviennent de plus en plus inacceptable parce que son évolution est réglé par la théorie et non plus le besoin réel de régler un problème. Il est invraisemblable de s’attendre de ces juristes peu scrupuleux qu’ils nettoient eux-mêmes la merde qu’ils ont produite ils se complaisent dedans.
La justice étant pour protéger le citoyen et la société des criminels. Il est permis de constater que la criminalité s’est répandue là ou elle devrait en être totalement absente, au niveau des politiciens et de la magistrature elle-même, puisque ce sont les politiciens qui les nomment les juges, c’est sans doute pour cela que les enquêtes et les poursuites les concernant n’aboutissent jamais.
Ces magistrats au nom de l’indépendance ont obtenu la permanence des politiciens et ils ont mis en place des moyens inefficace et nébuleux pour laisser croire qu’ils sont en mesure de s’auto discipliné eux même. La notion d’indépendance devra être reconsidérer pour le citoyen, parce qu’elle est un concept purement théorique, inefficace, inapplicable et inventé par la magistrature et la politique pour protéger sa propre corruption.
Je sens que ces excréments puants vont leur être retournés en les arrosant bien comme il faut quand la population en aura assez. Le système judiciaire qui est devenu dénaturé et est maintenant au service d’une nouvelle classe d’exploiteurs pilotés par le barreau du Québec et la magistrature qu’il a collaboré à mettre en place.
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