Il est une question dérangeante qui brule les lèvres de tout le monde dans ce débat actuel au sujet de la modification législative qui obligerait les cliniques privées offrant des services d'avortement à se doter d'un bloc opératoire. Cette question que personne n'ose poser dans ce contexte de rectitude politique est la suivante : « Est-il nécessaire et raisonnable de pratiquer 30 000 avortements chaque année au Québec seulement ? »
Combien de millions sont ainsi soustraits au budget du réseau de la santé et investis dans l'industrie de la mort ?
Est-ce l'avortement gratuit et librement accessible doit se substituer aux moyens de contraception négligés par des adultes irresponsables ?
Pourquoi ne pas retenir ici le principe du « three strikes, you're out » pour mettre un frein aux abus en semblable matière ?
Souvenons-nous qu'à l'origine, l'avortement ne devait être qu'un dernier recours, à n'être utilisé que dans les cas extrêmes et désespérés, des histoires d'inceste, de viol ou autres joyeusetés. Aujourd'hui, il se pratique dans le Québec contemporain des avortements qualifiés de tardifs faute de mieux, jusqu'au neuvième mois de la grossesse. Écoutez le Dr Jean-François Chicoine, pédiatre, faire des révélations au journaliste Normand Lester au «Journal du Midi» sur les ondes du 98,5 FM. Normand Lester n'hésite pas à qualifier ces actes barbares de «meurtre d'enfants». C'est ainsi que ce gouvernement de pleutres préfère investir l'argent public pour tuer les enfants Québécois de souche et importer à grands frais des petites chinoises orphelines.
Voilà le vrai visage de la «modernité»
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