vendredi 21 août 2009

Propagande et manipulation



La récupération par les féministes intégristes et leurs « compagnons de route » des tristes évènements de polytechnique relève de la malhonnêteté intellectuelle et de la propagande haineuse. Vers le milieu des années 80, le ministère de la santé commence à publier des chiffres les plus farfelus concernant la violence domestique : une femme sur dix, puis 300 000 femmes chaque année au Québec puis encore récemment une femme sur trois (Michael Ignatieff !), en clair n'importe quoi en autant que le vers pénètre dans la pomme. Dans ce contexte, le drame de polytechnique fut un cadeau du ciel.



Aujourd'hui grâce à l'équipe de recherche de l'Après-Rupture, nous savons que ces chiffres ne correspondent tout simplement à rien. En réalité, l'exercice n'a d'autre but que de manipuler les détenteurs des cordons de la bourse. Au moyen de cette odieuse propagande sexiste, les militantes radicales sont parvenues à influencer le législatif et faire adopter à la sauvette la fameuse "politique d'intervention en matière de violence conjugale" qui lève la présomption d'innocence et recommande l'arrestation de l'homme, sans égard au fait dès que l'appel au 911 est logé. Cette infâme politique a été adoptée, nous le savons maintenant, sur la base d'un grossier mensonge et le gouvernement actuel, bien au fait de la situation, devrait avoir le courage de répudier cette politique et de poursuivre les responsables de cette infamie.

Aujourd'hui, en raison de la mise en oeuvre de cette politique, les prisons hébergent quantité d'hommes innocents sous tous rapport, souvent des pères de famille mis en accusation sur une simple parole, jamais enquêtée et condamnés par des juges fripons assujettis à l'idéologie féministe. Or, lorsque la justice est au service d'une idéologie, nous entrons dans le domaine peu fréquentable de la tyrannie. Pas étonnant dans ce contexte que la famille soit si mal en point au Québec où il n'est désormais plus possible de faire confiance à une femme dans un contexte d'union conjugale, compte tenu de cette épée de Damoclès suspendue au dessus de la tête du conjoint en devenir. Allez, Messieurs et Mesdames à l'Assemblée Nationale, un peu de courage... À défaut, c'est la famille et par ricochet la société qui risque de disparaître.

Commentaire publié par Le Devoir en réaction à cet article intitulé: « Polytechnique au cinéma - Explorer nos parts d'ombre » sous la plume d'Odile Tremblay. 

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Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

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