Durant l'espace d'une fin de semaine, le cadenas de l'information s'est entrouvert. Maintenant que les journalistes de la SRC sont informés de la corruption judiciaire, auront-ils le réflexe d'effectuer un quelconque travail d'investigation ? Sous le joug du « Féminstan », rien n'est moins sûr...
Le ressac antiféministe
On ne répare pas une injure par une insulte. J'ai deux enfants magnifiques, un garçon et une fille, et je ne veux pas leur léguer une société qui n'a que du mépris à offrir à leur père. Je vous lance le défit de trouver une ligne de mes propos qui démontre une quelconque « haine » envers les femmes. J'en ai contre la misandrie institutionnelle et l'assujettissement du judiciaire à la « politique d'intervention en matière de violence conjugale ». Cette politique fut adoptée à la sauvette, sans la moindre discussion, après une autre campagne gouvernementale de désinformation qui alertait la population au sujet d'un fléau invisible, celui des « 300 000 femmes battues chaque année au Québec ». S'il est invisible, c'est tout simplement parce qu'il s'agit d'un grossier mensonge comme une simple demande d'accès à l'information allait le démontrer en automne 2004.
Cette politique qui n'est pas une loi autorise n'importe quelle femme qui le désire d'expulser le conjoint de sa vie, de celle de ses enfants, et du domicile familial sur la seule base d'une simple allégation qui ne sera jamais l'objet d'enquête. « Est fautif pour le substitut du Procureur général, de porter des accusations criminelles en se fondant uniquement sur les seules déclarations de la plaignante » dans André c. Québec (Procureur général), [1999] R.R.A. 886 (C. S.) J'en ai contre les petits juges dépourvus de jugements de la cour du Québec qui attribuent des dossiers criminels à des hommes, souvent pères de famille, sans l'ombre d'une preuve. La manœuvre est destinée à couvrir le popotin des policiers qui n'ont pas effectué leur travail d'enquête et des procureurs qui ont autorisé des accusations à partir d'allégations frivoles qui ne sont corroborées ni part les faits ni par de témoin. J'en ai également contre les juges de la C.S. qui rendent des jugements fallacieux et se rendent complice d'actes criminels en refusant de sanctionner les crimes dont ils sont témoins.
Cette politique qui n'est pas une loi autorise n'importe quelle femme qui le désire d'expulser le conjoint de sa vie, de celle de ses enfants, et du domicile familial sur la seule base d'une simple allégation qui ne sera jamais l'objet d'enquête. « Est fautif pour le substitut du Procureur général, de porter des accusations criminelles en se fondant uniquement sur les seules déclarations de la plaignante » dans André c. Québec (Procureur général), [1999] R.R.A. 886 (C. S.) J'en ai contre les petits juges dépourvus de jugements de la cour du Québec qui attribuent des dossiers criminels à des hommes, souvent pères de famille, sans l'ombre d'une preuve. La manœuvre est destinée à couvrir le popotin des policiers qui n'ont pas effectué leur travail d'enquête et des procureurs qui ont autorisé des accusations à partir d'allégations frivoles qui ne sont corroborées ni part les faits ni par de témoin. J'en ai également contre les juges de la C.S. qui rendent des jugements fallacieux et se rendent complice d'actes criminels en refusant de sanctionner les crimes dont ils sont témoins.
2 commentaires:
Je suis assez d'accord avec ce constat et je pense qu'on devrait prendre action. Les pères monoparentales du Québec et de Canada devraient faire un recours collectif contre le gouvernement du Québec et du Canada au nom de leurs enfants pour récupérer les montants d'argent perdus en frais de justice, en impots fiscals et en pensions alimentaires.
Je crois pas que ça va donner grand chose. Pour que ça marche il faudrait encore que l'on vivent pas dans un état de droit. Ce qui n'est aucunnement le cas, du moins pour les individus né du sexe maudit...
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