mardi 30 mars 2010

Le respect, ça se mérite

Publié alors que se déroulait au palais de justice de Montréal l'enquête du commissaire André Perreault mandatée après la mort tragique du jeune Dany Villanueva, ce jeune homme du Honduras abattu par deux jeunes policiers à la gâchette facile, il n'est pas interdit de rappeler aux petits flics qui se font les bras sur notre jeunesse au centre-ville de Montréal, Messiers et de plus en plus Mesdames les petits flics, un élément essentiel ne vous a pas été communiqué lors de la formation à l'institut de police, n'oubliez jamais que le respect, ça se mérite...

Les deux anecdotes suivantes sont puisées dans l'actualité récente.
Un citoyen se fait agresser dans une station libre service par le proposé à la guérite. La scène est filmée par les caméras de surveillance. La policière de service au PDQ 10 de Cartierville refuse de prendre la plainte du citoyen qui lui aurait occasionné un surcroît d'ouvrage, c'est-à-dire compléter une montagne de paperasse juste au moment où son quart de travail s'achève. De plus, le proposé de service à la station d'essence n'est pas du type caucasien. Or, les relations avec les ethnies demeurent un sujet sensible dans le contexte de l'affaire Villanueva. Désolé mon cher citoyen agressé sauvagement par le commis, rectitude politique oblige, meilleure chance la prochaine fois.

Quelques jours plus tard, un père de famille se présente à proximité d'une école publique fréquentée par son fils de 11 ans qui s'amuse avec ses petits copains dans la cour de récréation. En raison de la corruption judiciaire, cet enfant est privé de tout contact avec son père depuis près de 5 ans. Jamais, en aucune occasion, il n'a été allégué quelque élément que ce soit à l'égard des qualités parentales de son père.

L'école communique avec la mère qui s'empresse d'informer la police du PDQ 10 toujours de Cartierville. Quatre voitures sont mobilisées en code rouge pour tenter de mettre le grappin sur ce père de famille délinquant qui ose l'ultime tentative de voir son enfant, ne serait-ce que quelques instants.
Ces policiers de pacotille obéissent à quels ordres ? Depuis le procès de Nuremberg, nous sommes informés que l'excuse d'obéir aux ordres ne représente plus une valable défense devant la prévarication. Désolé mes chers policiers ripoux sans âmes ni conscience, fiers-à-bras de la mafia judiciaire, complice d'une femme à l'esprit dérangé qui inflige de la violence affective à ses enfants sous forme d'aliénation parentale, meilleure chance la prochaine fois !


M. les Ripoux, soyez assurés que ma détermination en quête de justice est sans commune mesure avec la complaisance que vous affichez envers la corruption politique et judiciaire

Url racourci : http://is.gd/9wd8UY

1 commentaire:

MipMip a dit...

En matière d'absurdité judiciaire féministe vous aimerai sans doute lire ceci:

http://feminizmeuh.blogspot.com/2010/04/banalisation.html

Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001