Les deux anecdotes suivantes sont puisées dans l'actualité récente.
Quelques jours plus tard, un père de famille se présente à proximité d'une école publique fréquentée par son fils de 11 ans qui s'amuse avec ses petits copains dans la cour de récréation. En raison de la corruption judiciaire, cet enfant est privé de tout contact avec son père depuis près de 5 ans. Jamais, en aucune occasion, il n'a été allégué quelque élément que ce soit à l'égard des qualités parentales de son père.
L'école communique avec la mère qui s'empresse d'informer la police du PDQ 10 toujours de Cartierville. Quatre voitures sont mobilisées en code rouge pour tenter de mettre le grappin sur ce père de famille délinquant qui ose l'ultime tentative de voir son enfant, ne serait-ce que quelques instants.
Ces policiers de pacotille obéissent à quels ordres ? Depuis le procès de Nuremberg, nous sommes informés que l'excuse d'obéir aux ordres ne représente plus une valable défense devant la prévarication. Désolé mes chers policiers ripoux sans âmes ni conscience, fiers-à-bras de la mafia judiciaire, complice d'une femme à l'esprit dérangé qui inflige de la violence affective à ses enfants sous forme d'aliénation parentale, meilleure chance la prochaine fois !
M. les Ripoux, soyez assurés que ma détermination en quête de justice est sans commune mesure avec la complaisance que vous affichez envers la corruption politique et judiciaire
Url racourci : http://is.gd/9wd8UY
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1 commentaire:
En matière d'absurdité judiciaire féministe vous aimerai sans doute lire ceci:
http://feminizmeuh.blogspot.com/2010/04/banalisation.html
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