mercredi 2 mai 2012

Du chinois judiciaire
























Voici une histoire bien réelle qui dépasse l'entendement. Un juge qui en a ras le bol de l'accusé, au point de mettre un terme de manière péremptoire à ses moyens de défense. Privé de ses moyens de défense, comment faire valoir ses droits ?
















Ce ne sera pas la première fois malheureusement, qu'un petit juge mafieux comme peut l'être le juge Mongeau, a trempé son pinceau dans la fange qui constitue la matière constituante de la basse-cour du Qc. La juge France Charbonneau s'est également copieusement salie les mains dans le dossier de Daniel Bédard, où l'ordre des Ingénieurs du Québec se retrouve directement impliqué et compromis. Sachant que la juge Charbonneau fut nommée en poste par la médiocratie de Paul Martin, un petit valet au service du Sieur de Sagard, il faut avoir des attentes réalistes en ce qui concerne l'exercice en devenir d'une hypothétique commission d'enquête portant sur la proximité entre le crime organisé, l'industrie de la construction et la  mafia gouvernementale...

Comme le disait l'annonce dans le temps, seul son coiffeur le sait...

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1 commentaire:

Josick a dit...

Facile en France de mettre l'adversaire en position d'être sans défense : il suffit de lui coller une investigation psychiatrique.
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Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001