Au Québec, la société semble évoluer en marge de la
civilisation, une société dans laquelle des sociopathes dictent la norme, sous
le couvert de la modernité.
Ceux qui s’intéressent de près ou de loin à la psychiatrie
connaissent l’existence du manuel de diagnostic et de statistique des
troubles mentaux, Diagnostic
de la Santé Mentale, le DSM, dont la quatrième version présentement
utilisée remonte à 1994. Il s’agit d’un recueil des différentes maladies
mentales et autres déviances du comportement publié par l’Association des
Psychiatres Américains, l’APA, à l’intention des praticiens afin de les guider
dans leur pratique. En mai 2013, une nouvelle version du manuel est vivement
attendue après la conclusion de l’actuelle période de consultation et de
préparation de la nomenclature.
La toute première version du DSM date de 1952. L'homosexualité, tout
comme la pédophile, était alors reléguée par les psychiatres
qui répertorient les maladies mentales et les déviances au rang des déviances
sexuelles chez les personnes atteintes du trouble de la personnalité sociopathe à sexualité pathologique. En 1973, une coterie de psychiatres gays ayant
au préalable investi la profession sous le couvert de l’anonymat et du mensonge
au sujet de leur pathologie, est parvenue par la ruse et la fourberie à faire
retirer 81 mots dans
la définition des déviances sexuelles de la bible des psychiatres,
modifiant ainsi définitivement le DSM et normalisant du même coup leur pathologie.
Cette engeance composée de psychiatres imposteurs a comploté dans le plus grand
des secrets afin que leur pathologie soit non seulement tolérée mais également
de nous la faire accepter socialement au moyen des campagnes de propagande
insidieuse sous les apparats de la modernité, de la tolérance et de la
diversité.
L’histoire de cette modification du DSM nous est racontée en
détail par la petite fille de l’un des instigateurs de la manœuvre, John
Patrick Spiegal. Le récit en anglais commence à la 02.00 min.
Or, voici qu’en prévision de la prochaine mise-à-jour du DSM,
le Dr. Judith Reisman surveille pour
nous les lobbyistes qui s’agitent présentement au sein d’organisations telles
le B4U-ACT afin de faire reconnaître leur conception
bien particulière de l’amour universel, toujours présentée sous le couvert de
la diversité et de la tolérance ! Des pédophiles et des spécialistes du domaine
des troubles mentaux tentent présentement d’établir un dialogue entre les
pédophiles et la société hôte afin de leur offrir une tribune sur laquelle ils
pourront discourir de l’amour singulier qu’ils éprouvent à l’égard de nos
enfants.
L’objectif de ces activistes consiste à influencer les
membres de l’APA afin d’obtenir une modification de la définition clinique de
la pédophilie et d’en exclure la notion de déviance sous le fallacieux prétexte
que ce comportement serait inné et non acquis. Selon cette thèse, il ne s’agirait
aucunement d’une pathologie puisque cette condition serait préexistante à la
naissance et non pas la conséquence d’une négligence parentale et autres abus
vécus durant l’enfance.
Nonobstant, les raisons qui mènent des personnes à adopter de
tels modes de vie sont bien documentés. De nombreux individus atteints du
syndrome dans leur vie sexuelle ont en commun d’avoir subi de la part d’un
proche des situations d’abus durant leur enfance.
À Baltimore, lors un symposium organisé par B4U-ACT en août
2011 afin de mousser leur projet de vie, Richard Kramer intitula son exposé: « Le
DSM et la stigmatisation des Personnes Attirées par les Mineurs. »
Voici le programme de ce symposium
La présentation du Dr Judith Reisman au symposium B4U-ACT
En psychiatrie, le terme ‘Minor Attracted Person’ MAP fait
désormais parti du vocabulaire clinique. Les activistes déplorent que les
‘MAPs’ n’aient pas accès aux services auxquels ils auraient droit, notamment
des psychiatres, par crainte d’être jugés ou même sanctionnés en raison de leur
singulier comportement. D’autres vont même jusqu’à invoquer les taux de suicide
élevés au sein de cette communauté en arguant qu’il faut lever la
stigmatisation à ce sujet dans la prochaine version du DSM.
Selon le site de l’APA consacré au DSM-V, les
critères diagnostiques du syndrome de la pédophilie vont effectivement être
modifiés.
« Les frontières entre les
variantes du syndrome ont été ajustées à la période pré-pubère en lien avec les
indicateurs de développement biologique chez les victimes et ce afin d’éviter
les conséquences qu’impliquent ce syndrome chez les victimes adolescentes
post-pubères…»
En clair, l’APA nous propose de rabaisser l’âge de
consentement sexuel à la puberté et « normaliser » les relations charnelles et
autres fornications entre adolescent et adulte, toujours sous le couvert de la
diversité et de la tolérance…
Non, la fornication, la luxure ou la concupiscence ne font
pas partie de valeurs et des pratiques qui doivent être enseignées à nos
enfants par le système d'éducation. Pourtant, c’est bien là le programme visant
à sensibiliser nos jeunes à « la diversité
sexuelle à l’école primaire » qui nous est proposé dans un cahier spécial Gay
du quotidien gratuit Le Métro. Ce cahier
spécial n’est simplement qu’un outil de propagande destiné à faire la promotion
de la perversion…
Il faut demeurer vigilent et surtout protéger nos enfants de
ces prédateurs en exposant ces activistes avant qu’il ne soit trop tard. L’exemple
donné au sujet de la normalisation de l’homosexualité devrait nous inciter à la
plus grande des prudences.
Url court : http://bit.ly/13NxMry
1 commentaire:
Contente de savoir que je suis malade et que j'ai besoin de me faire soignée... Pourtant, je fonctionne comme tout le reste de la population et je ne fais de mal a personne...
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