Il faudrait que la classe
politique de cette province cesse de nous prendre collectivement pour une bande
de demeurés, incapable de décoder le mensonge d’état. Lorsque j’entends ces
politiciens hypocrites nous raconter, sans rire, la main sur le cœur, qu’une
des valeurs communes au Québec serait le sacro-saint principe de l’égalité
entre les hommes et les femmes, mon sang se met à bouillir. Il s’agit sans l’ombre
d’un doute du plus énorme mensonge politique depuis l’imposture féministe affirmant
sur toutes les tribunes qu’il n'y aurait pas moins de 300 000 femmes battues
chaque année au Québec. Dans cette société où les voleurs ont remplacé les
valeurs, et en raison de la misandrie omniprésente, élevée ici au rang de
religion d’état, les hommes accusés sur la base de ouï-dire bénéficient en
réalité de moins de droit que les animaux domestiques.
Il importe de savoir qu’en vertu
des dispositions de la ‘politique d’intervention en matière de violence
conjugale’ qui, comme son nom l’indique est non pas une loi, mais bel et bien
une politique, adoptée dans le milieu des années ‘80 sans la moindre discussion, les hommes ici vivent désormais sous la dictature du jupon rose.
Depuis le jour de l’adoption de cette ‘politique’, il est tout à fait possible
pour n’importe quelle femme d’expédier en prison l’homme vivant en situation de
couple à ses côtés, et ce sur la seule base d’une parole dont la véracité ou la
vraisemblance ne sera JAMAIS évaluée. Par ailleurs, les féministes à la
source de cette propagande relative à la violence domestique nous envoient, à
travers leur mensonge, le message haineux que tous les hommes sont des
batteurs de femmes. La propagande féministe relative à la violence conjugale
représente bien évidemment un tissus de mensonges dont la fausseté fut exposée
publiquement lors de la publication en 2010 aux éditions Café Crème d'un
ouvrage, rédigé par un collectif d’auteurs, intitulé '300 000 femmes battues, y
avez-vous cru ?' Malgré la publication de cet ouvrage unanimement boycotté par
les journalistes et les médias corporatifs, l’infâme politique d’un sexisme
répugnant ne fut jamais répudiée, confirmant par défaut que la police de cette
province obéit à une ligne de commande politique, exactement de la même manière
que le faisaient les agents de la Gestapo à une autre époque.
En raison de la mise en œuvre de cette ‘politique’, devant la loi et les tribunaux mandatés pour en assurer l’application, dorénavant les hommes de cette province sont considérés comme des citoyens de second ordre. Notez en passant que la ‘politique’ en question contrevient à de nombreuses reprises aux dispositions explicites du code criminel canadien qui couvre et sanctionne déjà de telles infractions. Dans une société qui reconnaît la primauté du droit, cette politique doit être déclarée illégale et illégitime.
En raison de la mise en œuvre de cette ‘politique’, devant la loi et les tribunaux mandatés pour en assurer l’application, dorénavant les hommes de cette province sont considérés comme des citoyens de second ordre. Notez en passant que la ‘politique’ en question contrevient à de nombreuses reprises aux dispositions explicites du code criminel canadien qui couvre et sanctionne déjà de telles infractions. Dans une société qui reconnaît la primauté du droit, cette politique doit être déclarée illégale et illégitime.
En outre, et c’est là où la ‘politique’
nous révèle son vrai visage, depuis son implantation, les arrestations sans
mandat sont devenues la norme, tout autant que les périodes de détention
arbitraire qui s’ensuivent. Depuis, la présomption d’innocence a fait place à
la présomption de culpabilité. Et, comme pour ajouter l’injure à l’insulte, les
sentences avant jugement sont également administrées quotidiennement par les
petits juges fripons de la cour du Québec, sans jamais encourir la moindre sanction.
Il s’agit sans doute là de la plus grave atteinte à l’intégrité de nos
institutions. Il faudra nécessairement adresser un jour, que l’on espère
rapproché, ce gravissime problème afin de rétablir un semblant d’ordre au sein
de cette société qui en a grandement besoin.
En conséquence, avant de nous
proposer une autre charte, ce gouvernement sous l’influence des lobbys doit d’abord
et avant tout cesser de nous mentir effrontément en pleine face et abolir sans
délai cette ‘politique’ illégale, contraignante pour la sécurité publique et la
justice, une ‘politique’ digne des pires dictatures que cette terre a connues.
« La force sans la justice, c’est
la tyrannie »
Blaise Pascal
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