mercredi 17 mars 2010

300 000 femmes battues, y avez-vous cru ?

Lettre ouverte
L'après-rupture


16 mars 2010


UN LIVRE-CHOC QUI DÉNONCE LE FÉMINISME QUÉBÉCOIS DÉVIANT…

L’équipe de L’APRÈS-RUPTURE est heureuse de vous annoncer la parution du livre « 300 000 FEMMES BATTUES Y AVEZ-VOUS CRU? » paru aux éditions Café Crème.


En 2004, grâce à l’obtention de documents officiels, L’APRÈS-RUPTURE découvrait la pire supercherie féministe et politique de toute l’histoire du Québec. Des penseurs, des sympathisants, en collaboration avec notre équipe, décidèrent par la suite de rédiger des textes qui dénonceraient avec rigueur les dérapages du féminisme et ses dégâts sociaux.


Le chapitre de L’APRÈS-RUPTURE a été rédigé par Jean-Claude Boucher, président, et Jean-Pierre Gagnon, responsable de recherche.


Vous pourrez vous procurer ce livre-choc dans toutes les bonnes librairies dans les prochains jours ou en le commandant à partir des liens suivants :


Au Québec

Renaud-Bray

Archambault

En Europe

Librairie du Québec

+33 1 43 54 49 02


Le Québec est à l'avant-garde mondiale d'un mouvement qui a transformé la base de notre tissu social. Plus rien ne subsiste de ce qui jadis constituait la structure de la famille. De toute l'histoire de l'humanité, jamais une société n'a traversé une si profonde mutation en si peu de temps. Un groupe d'auteurs analysent cette « réussite » et osent en dévoiler les dessous tabous.


DES FAITS TROUBLANTS


• La famille est étatisée. De la naissance à la mort, toutes les étapes de la vie ont été confisquées par l'État. En droit conjugal, au Québec, la femme jouit d'une immunité judiciaire alors que la présomption d'innocence ne s'applique pas à l'homme.


• La condition masculine et les écueils du féminisme sont des sujets tabous dans la quasi totalité de nos médias. Plusieurs journalistes ont été lynchés pour avoir osé en parler.


• Le féminisme s'est transformé en une idéologie agressivement angélique qui récupère inconsciemment l'innocence toute puissante de la Vierge Marie du catholicisme d'antan.


• Le gouvernement du Québec a propagé de fausses statistiques, dégageant des sommes colossales pour aider des femmes battues inexistantes en diabolisant l'homme québécois.


• La majorité des diplômés universitaires sont des femmes. Aucun moyen d'équilibrer cette inégalité n'est entrepris. Pire, on prétend que ce « progrès » doit continuer à s'accentuer alors que d'ici 2012, le Québec fera face à la plus grave crise démographique de son histoire avec 700 000
postes à combler.


LES AUTEURS


Solidement documentés, François Brooks, Georges Dupuy, Jean-Claude Boucher, Jean-Pierre Gagnon, Lise Bilodeau, Bob Lérétik et Jean-Philippe Trottier sont parvenus à vous livrer des messages musclés.


L’ÉQUIPE DE L’APRÈS-RUPTURE


__________________________________________________________________


PRÉFACE

Je me réjouis d'avoir l'occasion d'ajouter ma bénédiction personnelle à cet excellent recueil de textes. C'est une compensation minime pour l'aide précieuse apportée à mes recherches, particulièrement dans le domaine des campagnes médiatiques biaisées et des fausses statistiques émises par des agences gouvernementales, de même que pour les intuitions et la sagesse que plusieurs de ces auteurs m'ont prodiguées pour mes textes.

Quand j'ai commencé mes chroniques hebdomadaires au National Post en 2003, je n'occupais aucun créneau particulier. Ma curiosité générale portait sur les tendances sociales et les facteurs qui contribuent à bâtir et à préserver la santé et la stabilité d'une société.

Mais trop souvent, mes recherches sur beaucoup de tendances culturelles négatives me ramenaient à la même source. Le théoricien politique marxiste italien Antonio Gramsci avait parlé, dans une formule célèbre, de « la longue marche des institutions » comme du chemin vers l'hégémonie culturelle. Lorsque j'ai commencé à me pencher sur les institutions qui instruisent nos enfants, façonnent nos avocats, travailleurs sociaux et psychologues, influencent notre système judiciaire, forgent les opinions de nos journalistes et inspirent nos futurs politiciens, il m'est apparu clairement que les gardiens de ces institutions s'abreuvaient tous au même puits idéologique : un féminisme imprégné de marxisme.

J'ai également compris que cette longue marche avait porté fruit. En effet, après quarante ans de révolution féministe sans opposition, durant laquelle l'homme dérouté a abandonné docilement ses droits humains sur l'autel d'une vengeance contre un « patriarcat » hypothétique, le Canada, comme toutes les autres nations occidentales, est devenu un matriarcat dans lequel les intérêts des filles et des femmes ont éclipsé l'égalité civique des garçons et des hommes.

J'ai découvert, comme de nombreux journalistes d'opinion, que la colère est un puissant aiguillon. Pour ma part, ce qui m'irrite le plus, ce sont l'injustice et l'hypocrisie. Le féminisme en offre d'innombrables illustrations. En effet, ma frustration principale en tant que commentateur réside dans le constant triage obligatoire du tsunami quotidien des nouvelles dont l'hypocrisie et l'injustice sont inspirées du féminisme.

Nous vivons dans une société dont les élites sont obsédées par la justice sociale et notre obligation d'éradiquer le racisme, l'homophobie et le sexisme — Sexisme envers les femmes, bien sûr. L'injustice systémique est admise pour un seul groupe identitaire : l'homme hétérosexuel. Le souci de notre société pour le droit des femmes, des autochtones, des gays et des non-Blancs, à qui elle accorde le respect spécial réservé aux éternelles « victimes », contraste de façon flagrante avec l'indifférence, et très souvent la franche hostilité envers l'idée même des droits et de la dignité des hommes.

Il est curieux qu'une si grande adhésion à l'égalité en général puisse coexister si facilement avec la misandrie féministe au sein d'une même culture. S'il y avait une faiblesse chronique qui valait la peine d'être examinée par des observateurs culturels, on la trouverait par excellence dans cette incohérence inhérente. Pourtant, le manque de compassion à l'égard des souffrances spécifiquement masculines et de la marginalisation des droits des hommes — notamment dans les domaines de la violence conjugale et du droit familial — est un sujet pratiquement occulté dans les médias.

Et ce, pour deux raisons.

La plupart des commentateurs masculins hésitent à aborder le sujet de la misandrie de la société de peur — bien fondée — de la réaction des groupes de femmes bien organisés et politiquement influents envers leurs éditeurs.

Par ailleurs, les trop peu nombreuses journalistes d'opinion qui écrivent aujourd'hui — à quelques exceptions près — sont des femmes qui sont non seulement le produit d'un système d'éducation dominé par le féminisme, mais des écrivaines vouées à la promotion de revendications spécifiquement féministes.

Je me bats à contre-courant sur la question féministe depuis plusieurs années. Je ne dois cependant ma liberté de penser à aucun don intellectuel particulier ni à un caractère particulièrement combatif.

Je dois plutôt mon autonomie à l'âge. J'ai échappé au lavage de cerveau éducationnel que la plupart des jeunes femmes après moi ne purent esquiver. Je suis le produit, par un pur et heureux hasard, de l'ère du libéralisme classique, où la mission de l'Université était d'enseigner un savoir basé sur l'objectivité et les faits dans le but de produire des penseurs critiques plutôt que des automates de la rectitude politique.

J'ai obtenu mon diplôme universitaire en 1966 sans jamais avoir eu connaissance ni m'être inquiétée des opinions politiques auxquelles mes professeurs adhéraient. Quand les premiers cours d'études féministes (Women's Studies) furent inaugurés en 1970, l'Université considérait généralement que sa mission n'était pas d'éduquer, mais de changer la société selon la vision utopique des libéraux radicaux, vétérans de la contre-culture des années '60, intégrés en masse dans le corps professoral.

La connaissance objective et l'échange libre des idées furent alors subordonnés à l'endoctrinement idéologique de la rectitude politique. Ainsi, dans quelque université de l'Occident que ce soit, depuis la fin des années '60, l'étudiant ne pouvait malheureusement plus ignorer l'idéologie de son professeur.

Le féminisme d'inspiration marxiste était la mouvance la mieux organisée et la plus militante des nouveaux

« ismes » de rigueur parmi les bien-pensants culturels. Les études féministes n'ont ainsi jamais été conçues comme un forum d'apprentissage de connaissances basées sur des faits ni d'échange d'idées. Ces études furent l'instrument universitaire créé spécifiquement dans l'intention de servir le mouvement féministe, et constituèrent un centre de recrutement pour la promotion de l'idéologie féministe ainsi qu'un camp d'entraînement pour les troupes qui se répandraient dans nos institutions sociales en une marche épique organisée, à la Gramsci.

Aujourd'hui, quarante ans plus tard, les classes de ces études féministes se vident. La révolution ayant réussi bien au-delà des rêves les plus insensés, et la génération actuelle n'ayant jamais rien connu d'autre que l'égalité — plus que l'égalité, des droits spéciaux — les femmes ordinaires trouvent que le message féministe de l'homme éternellement coupable n'a aucun rapport avec leur vie.

Cependant, le mal a été fait ; il est irréversible à court terme. Même si tous les départements d'études féministes en Occident fermaient demain, nous serions quand même obligés de composer avec les conséquences de ces quarante armées de propagande antifamille, de statistiques fausses ou biaisées, de blâme systématique, de recherche de boucs émissaires et d'accumulation de doléances.

Grâce à une colonisation du discours public par une génération de cours d'études féministes, l'idée reçue selon laquelle les femmes méritent davantage de considération sociale, légale et culturelle que les hommes imprègnent nos systèmes judiciaires et d'éducation. Cette idée a aussi pénétré les réseaux de santé et les services sociaux, sans parler des organismes de bienfaisance, des ONG et de la bureaucratie d'État.

On pouvait lire dans l'éditorial du National Post du 26 janvier 2010 1:

Le féminisme radical à la base de ces cours a causé un dommage indescriptible aux familles, au système judiciaire, aux lois du travail, à nos libertés constitutionnelles et même aux relations courantes entre les hommes et les femmes. »2

Même si les effets du féminisme seront présents pendant encore de nombreuses années, comme la lumière résiduelle encore aveuglante d'une étoile mourante, nous devons prendre courage. Le soleil féministe qui brillait de toute sa colère sur la théorie à somme nulle — si un sexe gagne, l'autre perd — est sur son déclin. Les hommes et les femmes sont las de la nature conflictuelle des relations de genres et sont maintenant ouverts à un modèle plus harmonieux.

Ce livre paraît donc à un moment opportun dans le débat public et mérite l'attention du lecteur réfléchi. Je crois que le terrain est enfin propice pour que germent à nouveau la rationalité et le bon sens dans les relations hommes-femmes.

Comme le philosophe du XIXe siècle Hegel l'exprimait dans sa célèbre formule : « La chouette de Minerve ne prend son vol qu'à la tombée de la nuit »3 Le crépuscule tombe sur le féminisme. Puisse 300 000 femmes battues, y avez-vous cru ? se déployer de toutes ses ailes et connaître un essor tel qu'il devienne une force pour guérir notre culture maladivement scindée.

Barbara Kay

1 http: / /network.nationalpost.com/np/blogs/fullcomment/archive/ 2010/ 01 / 26 /national-p ost-editorial-board-women-s-studies-is-still-with-us. aspx

2 « The radical feminism behind these courses has clone untold damage to families, our court systems, labour laws, constitutional freedoms and even the ordinary relations between men and women. », (B. K.)

3 G.W.F. Hegel, Principes de la philosophie du droit (1820), Préface, Vrin ©1982, p. 59. (Google Books)


URL court http://bit.ly/geL2kK

5 commentaires:

Anonyme a dit...

Savez-vous j'ai pu recensé des femmes battues pendant mes 52 ans de vie dans mon petit entourage et la statistique, JE M'EN FOUS. UNE SEULE FEMME BATTUE C'EST UNE DE TROP. Les publicités sur le sujet sont bienvenus elle brise le silence sur ce dont j'ai été témoins depuis mon enfance. Rien à voir avec le féminisme quand vos parents ont des problèmes de santé mentale (une qui se laisse battre et l'autre qui frappe).

bisbilloe100 a dit...

La violence n'a pas de sexe.

Mentir à la population pour gonfler les statistiques, gaspiller des fonds du trésor public pour diffuser des campagnes de propagande sexiste et mensongère ( une femme sur 3 ) et engranger par la suite les dividendes sous forme de grosses subventions (600M$/an) versées aux organismes communautaires parasitaires accrochés aux mamelles de l'état providence relève de la fraude et ne saurait être toléré dans une société établie sur la primauté du droit. Pourtant, c'est exactement ce que font les féministes déviantes depuis plus de 30 ans avec la complicité des eunuques au pouvoir. Le livre collectif révèle les dessous de l'industrie féministe du mensonge.

Une lecture obligatoire pour quiconque cherche à comprendre la source du malaise social qui grève la société Québécoise contemporaine au point d'en miner l'existence

A.Aubague. a dit...

Soyez objectifs (ves).. le MONDE est dominé par les hommes partout et depuis toujours !! Le Québec essaie un peu autre chose, et c'est tant mieux.
Vive le féminisme moderne international!!! Ce qui ne nous empêche pas d'aimer les hommes évolués.
Une française.

bisbilloe100 a dit...

La tromperie, le mensonge, le détournement des ressources dans le but de promouvoir une idéologie perverse ne représentent pas dans mon livre des objectifs digne de respect, tout spécialement lorsqu'ils sont entre les mains des groupes de pression nourris à même les ressources provenant du trésor public.

LHDDT a dit...

Plutôt que d'user mon clavier, mon expérience tient dans ça :

http://lhddt.wordpress.com/2010/05/07/le-divorce-pour-les-mecs-nuls/

sans compter le reste ..

http://lhddt.wordpress.com/?s=divorce+pour+les+mecs++nuls

comme ici, il u en a des kilomètres sur ma feuille

Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001