mardi 23 mars 2010

Le Québec moderne...

La société québécoise, par ses lois, a criminalisé l'amour et le mariage.


Le pire, c'est qu'elle en est fière!


Combien d'immigrants débarquent au Québec avec l'intention de s'y marier? Combien y viennent avec femmes et enfants? Combien de couples mixtes rêvent d'une union au Québec qui leur donnerait un droit d'établissement ?


Un ami récemment divorcé m'a confié que le Québec était aux hommes ce que l'Afghanistan des Talibans était aux femmes!


Et il m'expliqua pourquoi.


S'ils prenaient la peine de regarder des films québécois, les futurs immigrants y trouveraient dépeint une grande souffrance morale, une poignante misère dans les relations homme-femme, des amours malades, des familles déchirées, des suicides à la tonne, des pleurs, des désillusions, des rapports malsains...


Le Québec est une société tellement malade de sa famille que cela fait frémir.


S'ils le savaient, les futurs immigrants éviteraient cet enfer annoncé auquel ils souscrivent pourtant joyeusement devant un juge, sous le sourire de celle qui leur passera tôt ou tard la corde au cou pour les pendre.


Au Québec, l'homme est seul; l'homme est coupable; l'homme est criminalisé, humilié et réduit à l'état de porte-monnaie sans âme ni bonté.


Au Québec, dans son rapport avec la femme, l'homme est le grand perdant annoncé d'un couple où son rôle est réduit à deux critères élémentaires :


- assurer l'équilibre sexuel de sa partenaire;

- lui assurer aussi son équilibre budgétaire.


(Lire le livre de George Dupuy COUPABLE D'ETRE UN HOMME)


Je sais, vous allez dire que j'exagère, que c'est mensonger, que ce n'est pas possible, que je critique encore et toujours.


Les immigrants veulent des rêves, des fleurs, des papillons et des violons.


La réalité amère, la déroute sociale, l'écœurante injustice d'une société matriarcale qui compte le plus grand nombre d'hommes suicidés au monde, ils ne veulent pas le voir. Ils pensent passer à côté!


L'immigrant au Québec est la plus grosse autruche que je connaisse.


Certains en font des élevages, le Québec les fait venir par milliers chaque année.


Le mariage, la femme nue


Le Québec est une société matriarcale, l'ai-je répété une bonne vingtaine de fois dans de nombreux articles. Une femme qui immigre au Québec y trouvera un bonheur certain: tout est fait pour elle.


  • Elle veut travailler? Toutes les portes lui sont ouvertes.
  • Elle veut étudier? Programmes de formation sur mesure et associations subventionnées multiples.
  • Elle veut un enfant? Les hommes sont tellement aux abois, à errer de bars-de-danseuses à agence de rencontres qu'elle n'aura que l'embarras du choix.
  • Elle veut garder l'enfant? L'homme peut se mettre dehors du jour au lendemain.
  • Elle veut de l'argent? L'homme qu'elle a mis dehors la veille lui assurera une rente confortable, par saisie directe sur salaire.
  • Elle en a assez des hommes? Montréal est une des plus grosses capitales de lesbiennes au monde.

Par contre, l'homme au Québec aura aussi peu de latitude que d'espoir d'y vivre une vie épanouissante. D'ailleurs, nombreux des immigrants que j'ai rencontrés sont rentrés dans l'une des deux catégories suivantes:


  • Arrivés mariés au Québec (et heureux), ils se sont divorcés. Normal, le Québec compte un des plus hauts taux de divorces au monde. Pour une femme, se marier, c'est comme jouer à la Loto. Divorcer, c'est tirer les 5 numéros gagnants. Célibataires, ils cherchent toujours l'âme sœur après de nombreuses aventures sans lendemain et d'innombrables ruptures déroutantes.
  • Quand l'homme est originaire du Maghreb, son problème est plus grand encore.
  • S'il est marié, il va mettre son couple en grand danger, car l'épouse sera vite happée par la communauté sur place et mise au pas du féminisme retrouvé. Le divorce viendra vite, comme pour la majorité d'entre ceux qui sont venus et qui y ont tout perdu: femmes, enfants, dignité, respect, finances...
  • S'il est célibataire, il va se retrouver devant deux problèmes insurmontables. Les Québécoises promettent l'ivresse d'une intégration sur l'oreiller.
  • S'il veut trouver son amie parmi la communauté féminine Arabe, il aura d'autant plus de mal que celles-ci optent pour les Québécois, pour les mêmes raisons que lui voulaient initialement une Québécoise (en vain). Sauf que les femmes auront moins de problèmes que les hommes.

Mais qu'il se rassure: Montréal recense un nombre impressionnant de bars de danseuses nues où il pourra se rincer l'œil sans y laisser un demi-mois de salaire en pension alimentaire à vie.


Si l'homme vient d'Europe, il aura moins de problèmes en apparence quoique autant sur le fond. S'il arrive marié, les chances qu'il divorce dans les 3 ans au Québec sont terriblement élevées.


S'il est célibataire, certes, les Québécoises lui seront facile d'accès, mais pour du court terme seulement. Au bout d'un moment, l'exotisme s'étant estompé, chacun reprendra son chemin. Si un mariage a été célébré autre temps, le divorce fera connaître à l'heureux immigrant les meilleurs cotés de la province.


Le divorce, l'homme nu


Si l'homme au Québec a commis l'audace des deux crimes suivants:


- il s'est marié

- il a eu un ou plusieurs enfants;


il est considéré comme un criminel en puissance.


En effet, sa conjointe peut à tout moment plier bagages et partir refaire sa vie en vidant celle de l'ex.


Le contrat de mariage est un contrat dont les termes lient l'homme à la femme seulement, et non l'inverse.


Le Québec a réussi à faire d'un contrat d'amour un modèle de haine:

- La femme peut en briser les termes sans renoncer aux avantages du bris.


Un peu comme si vous rameniez une voiture abîmée par votre faute chez votre concessionnaire et lui en réclamiez la valeur à neuf.


Vous allez vous lever et dire : Non mon vieux! Si tu casses, tu paies!


Pas au Québec! Au Québec, dans ce paradis de justice sociale féministe : la femme casse, l'homme paie.


Quand un homme se fait dire par sa conjointe qu'elle le quitte, c'est comme si son médecin lui annonçait un cancer. C'est le début d'une longue agonie. Une agonie que rien ni personne ne viendra soulager.


Au Québec, on s'émeut des réfugiés, des handicapés, des vieux, des femmes et des enfants, mais pas des hommes, pas des pères divorcés, pas des suicidés!


Non seulement ils perdront leur femme, leurs enfants, leur maison, leur salaire, leurs économies, mais à la moindre menace, au moindre haussement de ton, à la moindre contestation quant à l'éducation des enfants, ils pourront se retrouver derrière les barreaux.


S'ils augmentent leur salaire, ils devront payer plus, et cela, même si l'ex vit dans le luxe.


S'ils perdent leur emploi, ils seront soupçonnés de tentative volontaire de dérogation; comme la somme est due au gouvernement et non au conjoint, leurs avoirs pourront même être saisis. S'ils changent d'employeur ou d'adresse, ils seront tenus d'en avertir les autorités. Bref, l'homme divorcé au Québec entre immédiatement en libération conditionnelle; il devient de facto un criminel pour un crime que la conjointe à peut-être commis, sans reconnaissance de faute.


Un paradis pour les hommes ce Québec!


Alors, vous allez vous dire que vous ferez comme tous les Québécois: que vous allez travailler, travailler encore et vous sortir quelques filles sans jamais y risquer votre avenir; pas de mariage, pas d'enfant, pas de relation, le néant sentimental (en plus de l'hiver).


Bien! Bon choix! Mais est-ce à cela que vous pensiez en immigrant au Québec?


Vu donc que vous n'y serez jamais riche , cela vaut-il en plus la peine que vous n'y soyez jamais heureux?


Une fois dans le piège, vous ne vous en sortirez pas.


Vous n'êtes pas plus forts que les autres, et ils sont des milliers à avoir cru l'être.


Le Québec est malade de sa vie sociale, ne vous en approchez pas trop prêt, n'y laissez pas votre santé mentale et le bonheur que vous auriez pu trouver ailleurs!


Source

2 commentaires:

Josick a dit...

"Le contrat de mariage est un contrat dont les termes lient l'homme à la femme seulement, et non l'inverse."
Pour mon ex, idem, le mariage n'avait engagé que moi. Sur l'heure, elle pouvait se tirer, ne se considérait absolument pas lié avec ce qui n'était pour elle selon sa propre expression "qu'un bout de papier".
Je l'ai empêcher de partir sur le champ, la laissant libre le lendemain. Elle a alors disparu trois jours me laissant seul avec les enfants.

bisbilloe100 a dit...

Au Québec, la notion de couple ou de vie de famille est devenue une véritable auberge espagnole, sans préjudice pour habitants de la péninsule Ibérique.

On y retrouve des unités monoparentales, de loin les plus nombreuses.

La mode des couples homosexuels des deux sexes s'avère certainement la plus tendance.

Mais l'aspect le plus paradoxal de tous, c'est sans contredit la quantité d'hommes célibataires, souvent assez jeunes, qui regardent les représentantes du sexe opposé comme des dangereuses créatures qu'il vaut mieux éviter à tous prix si on ne veut pas vivre avec le trouble qui l'accompagne, comme de l'eau mouillé...

Vous n'aurez jamais d'argument assez puissant pour contrer l'éternel prétexte des hormones qui la transforme de déesse en tigresse en un clin d'œil !

Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001