Lettre ouverte
L'après-rupture
14 mars 2010
LES CLIENTS DE RONA SUBVENTIONNENT LA PROPAGANDE FÉMINISTE…
Les enquêtes scientifiques portant sur l’ampleur de la violence conjugale au Canada ont largement démontré que les hommes déclaraient être autant victimes que les femmes. Cette réalité est constamment et habilement masquée depuis des années par les organisations féministes. Cette propagande est malheureusement reprise cette fois par l’entreprise RONA :
Comment expliquer que cette entreprise décide de venir en aide, entre autres, à des maisons d’hébergement que le Vérificateur général du Québec a dénoncé dans son Rapport 2008-2009, Tome 1, Chapitre 3? Comment expliquer que RONA collabore avec des organisations féministes qui ont colporté pendant trop longtemps la fausseté statistique de 300 000 femmes battues annuellement au Québec, fausseté que L’APRÈS-RUPTURE a découverte en 2004 grâce à la Loi d’accès à l’information? Comment expliquer que RONA accepte d’aider des maisons d’hébergement qui reçoivent chacune annuellement en moyenne au Québec plus d’1/2 million$ en subventions sans compter les dons de toutes sortes, alors que ces maisons sont le plus souvent vides de vraies victimes de violence conjugale comme l’a si bien prouvé le Vérificateur général? Un total de 60 millions$ en subventions gouvernementales versées chaque année pour venir en aide à des victimes le plus souvent imaginaires et ce, sans vérifications serrées de la part des Agences de la santé et des services sociaux qui signent les chèques…
Une commission d’enquête aurait dû être immédiatement mise en marche suite aux conclusions inquiétantes du Rapport 2008-2009 du Vérificateur général du Québec pour que la lumière soit faite au sujet du gouffre financier créé par les organisations féministes que s’apprête à aider RONA.
Masquer la réalité scientifique de la violence conjugale c’est contribuer à perpétuer des dégâts humains qui affectent toute la cellule familiale et particulièrement les enfants aux prises avec ce type difficulté. La recherche américaine sérieuse dans ce domaine est en train de faire voler en éclats les aberrations statistiques féministes et s’oriente inexorablement vers une aide professionnelle adaptée aux familles aux prises avec ce genre de problème.
Dans ces conditions, une question d’éthique s’impose : est-il moralement acceptable d’acheter chez Rona?
L’ÉQUIPE DE L’APRÈS-RUPTURE
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Échange de correspondance avec le service à la clientèle Rona
--- En date de : Jeu, 25.3.10, service
Rép. : Campagne ‘Aidez-nous à rebâtir des vies sans violence conjugale’
Objet : Campagne ‘Aidez-nous à rebâtir des vies sans violence conjugale’
À : lim...@yahoo.ca
Date: jeudi 25 mars 2010 23 h 08
Bonjour,
Nous avons bien reçu votre courriel et nous l’avons lu avec grande attention. Nous comprenons vos préoccupations et désirons partager avec vous les objectifs et motivations de RONA quant à notre campagne ‘Aidez-nous à rebâtir des vies sans violence conjugale’.
L’objectif de ce projet est de venir en aide à des personnes qui sont victimes d’une situation de violence conjugale et qui vivent ainsi des épreuves difficiles. Notre intention n’a en aucun cas été de porter un jugement sur quelque type de violence que ce soit, ni sur les causes qui auraient pu l’engendrer. La mission de cette campagne est de recueillir des fonds qui seront destinés à appuyer les programmes de la Fondation canadienne des femmes et de fournir de la main-d’œuvre et des matériaux pour rénover des maisons qui accueillent des femmes violentées et leurs enfants. Et, en tant que détaillant chef de file en matière de rénovation au Canada, nous sommes fiers de pouvoir contribuer à rendre ces maisons d’hébergement accueillantes et chaleureuses pour les femmes et les enfants qui viennent y trouver refuge.
Au fil des ans, RONA et ses employés ont toujours été activement impliqués dans la communauté. Nous déployons beaucoup d’efforts et d’énergie pour participer au mieux-être de nos collectivités et pour venir en aide à ceux qui sont dans le besoin. C’est dans cet esprit de soutien et d’entraide que cette campagne a été développée.
Nous espérons que ces informations vous permettent de mieux comprendre les intentions de notre entreprise et notre sincérité à œuvrer pour le mieux-être des gens. Soyez assuré que nous n’avons en aucun cas voulu heurter qui que ce soit dans cette démarche.
Cordialement,
Le Service à la clientèle de RONA
Tél. / Phone : 514.599.5900 poste / ext. 8631
Téléc. / Fax : 514.599.1414
Réponse
Bonjour, Et merci de votre réponse qui démontre bien l'aveuglement idéologique à la source de cette campagne de propagande misandre. La violence n'a pas de sexe. Le travail méticuleux de recherche mené par Denis Laroche de l'Institut de la Statistique du Québec le démontre avec rigueur. Le véritable problème, c'est qu'il n'existe aucune ressource pour venir en aide aux hommes qui subissent de la violence domestique alors que le communautaire parasitaire accroché aux mamelles de l'État providence croupit sous les subventions gouvernementales à hauteur de 600M$/an, sans compter les fonds en provenance de fondations privées comme la vôtre et qui ne sont jamais comptabilisés dans les livres que ces femmes protègent jalousement du regard public. Le vérificateur Général s'est penché sur ce problème dans son rapport déposé à l'Assemblée Nationale à l'automne 2008, juste avant le déclenchement des élections dont personne ne voulait. Il y dénonce l'absence de contrôle dans l'allocation des ressources, l'absence de suivi dans l'utilisation de ces ressources et l'absence de service dans ces centres qui ne sont pas mis en place pour héberger des femmes victimes de violence domestique mais bien davantage au service des toxicomanes, des prostituées, des fugueuses et des immigrantes arrivées de fraîche date en quête d'un toit. Il s'agit somme toute d'un vaste réseau de fraude mis en place avec la complicité du réseau de la santé. Il est fort dommage que Rona participe sans doute de bonne foi à cette entreprise de mensonge. Il ne faut pas sous-estimer le pouvoir du consommateur. De nombreux sites dénoncent déjà cette campagne de désinformation initiée par Rona et en l'absence de réaction positive de la part de votre société, une campagne de boycott devrait être mis en ligne sous peu. Il n'est pas trop tard pour vous renseigner à partir de sources crédibles et corriger le tir. Le geste serait tout à votre honneur. Je vous suggère de vous procurer le dernier ouvrage collectif intitulé « 300 000 femmes battues, y avez-vous cru ? » publié cette semaine et qui dénonce précisément, chiffres à l'appui la manipulation de la population avec des statistiques inventées de toutes pièces pour faire pleuvoir les sous dans la cagnotte et noircir l'image de l'homme Québécois, un batteur de femme compulsif et un violeur en série (Une femme sur trois selon la dernière campagne initiée par ce gouvernement en déroute ! ) Espérant que ces éléments d'information sauront vous convaincre du sérieux de cette affaire et que vous aurez l'initiative de corriger le tir afin que cessent ces pratiques douteuses de nature à nuire considérablement à votre image de marque. Merci de l'attention et bonne fin de journée. Hermil Lebel PS Par souci de transparence, je me réserve le droit de soumettre cet échange à l'attention du public concerné |
1 commentaire:
Je viens d`envoyer un courriel a RONA comme quoi je n`achete plus dans leurs magasins.
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