Comme à l’habitude, les
féministes prennent un malin plaisir à diffuser de l’information erronée. Dans
cet article intitulé : « L’UdeM crée un outil de
prévention de l’homicide conjugal pour policier », il est écrit : « Certains pays, tel le Brésil, considèrent la
violence conjugale comme un acte criminel. Pas le Québec. »
Or, tout un chacun est en mesure
de vérifier que rien n’est plus faux !
Au Québec, non seulement la violence
conjugale est-elle considérée comme un crime mais tous les hommes accusés de ce
délit, - plus souvent qu’autrement sur
la seule base d’une simple parole, sans preuve ni témoin - seront, et ce dès la
réception de la plainte, traités en présumés coupables, à telle enseigne que le
tribunal ira même jusqu’à leur administrer des sentences avant jugement ! Notez
au passage que très peu de femmes sont accusées de semblable délit mais, lorsqu’elles
sont mises en accusation, le sort qui leur est réservé diffère considérablement
de celui imposé aux hommes en pareilles circonstances. Le cas de la procureure
de la couronne Claudia
Carbonneau nous vient ici spontanément à l’esprit. Par soucis de «
transparence », une ordonnance de non-publication nous a empêché de connaître
les détails, outre le fait qu’il s’agissait d’accusations multiples
relativement à des événements qui seraient survenus à au moins trois reprises
durant les mois précédant l’arrestation de juin 2012. Au terme de l’exercice,
les accusations furent retirées récemment en raison du refus de témoigner du
conjoint policier… Ce dossier embarrassait bien du monde dans le système
judiciaire corrompu du Québec et cette chute prévisible semble avoir été dictée
par les profiteurs au sein de la machine qui n’a de justice que le nom.
Poursuivant la lecture du
document propagandiste émanant de l’UdeM, voici ce que l'on découvre : « Il n'est pas aisé de déterminer qui dit vrai
dans une dispute conjugale. Pour ce faire, les policiers doivent recueillir les
déclarations des deux parties afin de brosser un tableau de la situation à
laquelle ils font face. Le policier doit rapidement prendre la décision de
procéder ou non à une arrestation. »
Depuis l'adoption en ’86 de la
'politique d'intervention en matière de violence conjugale' sans la moindre
discussion et sur la base d'un grossier mensonge, les
policiers ont l'ordre de mettre en état d'arrestation l'homme du couple, même
si c'est lui qui a appelé ! Et jamais les policiers n'auront l'initiative de
lui demander s'il a une quelconque version à offrir. Présumé coupable, cet
homme partira en prison et devra s'engager à respecter de sévères conditions avant
de recouvrer sa chère liberté dont celle de ne pas retourner dans sa maison,
une véritable sentence avant jugement. Notez également que les femmes qui
prétendent être victimes de violence domestique disposent d’une centaine de
refuges alors que les ressources accessibles aux hommes font cruellement
défaut. Or, qui a réellement besoin d’un centre d’hébergement dans les
circonstances ?
Ce projet fut mené à l’initiative
du Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la
violence faite aux femmes. Comme toujours, ces idéologues sous influence regardent
le phénomène à étudier d’un seul œil, ignorant la réalité qui s’avère beaucoup
plus nuancée comme le démontre les vraies études menées avec
rigueur et méthodologie. Cet exemple démontre que le crime est payant lorsqu’il
est commis au profit du féminisme d’état. La question qui nous interpelle
maintenant est la suivante, pourquoi l’état engage-t-il ses précieuses
ressources à alimenter ce délire, à diffuser ces mensonges, à détruire la
cellule familiale ? Si vous n’êtes pas d’accord avec ce gaspillage, alors il ne
vous reste plus alors qu’à la poser à votre député.
Url court : http://is.gd/DOntJL
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