jeudi 27 décembre 2012

Propagande féministe




Comme à l’habitude, les féministes prennent un malin plaisir à diffuser de l’information erronée. Dans cet article intitulé : « L’UdeM crée un outil de prévention de l’homicide conjugal pour policier », il est écrit : « Certains pays, tel le Brésil, considèrent la violence conjugale comme un acte criminel. Pas le Québec. »



Or, tout un chacun est en mesure de vérifier que rien n’est plus faux !



Au Québec, non seulement la violence conjugale est-elle considérée comme un crime mais tous les hommes accusés de ce délit,  - plus souvent qu’autrement sur la seule base d’une simple parole, sans preuve ni témoin - seront, et ce dès la réception de la plainte, traités en présumés coupables, à telle enseigne que le tribunal ira même jusqu’à leur administrer des sentences avant jugement ! Notez au passage que très peu de femmes sont accusées de semblable délit mais, lorsqu’elles sont mises en accusation, le sort qui leur est réservé diffère considérablement de celui imposé aux hommes en pareilles circonstances. Le cas de la procureure de la couronne Claudia Carbonneau nous vient ici spontanément à l’esprit. Par soucis de « transparence », une ordonnance de non-publication nous a empêché de connaître les détails, outre le fait qu’il s’agissait d’accusations multiples relativement à des événements qui seraient survenus à au moins trois reprises durant les mois précédant l’arrestation de juin 2012. Au terme de l’exercice, les accusations furent retirées récemment en raison du refus de témoigner du conjoint policier… Ce dossier embarrassait bien du monde dans le système judiciaire corrompu du Québec et cette chute prévisible semble avoir été dictée par les profiteurs au sein de la machine qui n’a de justice que le nom.



Poursuivant la lecture du document propagandiste émanant de l’UdeM, voici ce que l'on découvre : « Il n'est pas aisé de déterminer qui dit vrai dans une dispute conjugale. Pour ce faire, les policiers doivent recueillir les déclarations des deux parties afin de brosser un tableau de la situation à laquelle ils font face. Le policier doit rapidement prendre la décision de procéder ou non à une arrestation. »



Depuis l'adoption en ’86 de la 'politique d'intervention en matière de violence conjugale' sans la moindre discussion et sur la base d'un grossier mensonge, les policiers ont l'ordre de mettre en état d'arrestation l'homme du couple, même si c'est lui qui a appelé ! Et jamais les policiers n'auront l'initiative de lui demander s'il a une quelconque version à offrir. Présumé coupable, cet homme partira en prison et devra s'engager à respecter de sévères conditions avant de recouvrer sa chère liberté dont celle de ne pas retourner dans sa maison, une véritable sentence avant jugement. Notez également que les femmes qui prétendent être victimes de violence domestique disposent d’une centaine de refuges alors que les ressources accessibles aux hommes font cruellement défaut. Or, qui a réellement besoin d’un centre d’hébergement dans les circonstances ?



Ce projet fut mené à l’initiative du Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes. Comme toujours, ces idéologues sous influence regardent le phénomène à étudier d’un seul œil, ignorant la réalité qui s’avère beaucoup plus nuancée comme le démontre les vraies études menées avec rigueur et méthodologie. Cet exemple démontre que le crime est payant lorsqu’il est commis au profit du féminisme d’état. La question qui nous interpelle maintenant est la suivante, pourquoi l’état engage-t-il ses précieuses ressources à alimenter ce délire, à diffuser ces mensonges, à détruire la cellule familiale ? Si vous n’êtes pas d’accord avec ce gaspillage, alors il ne vous reste plus alors qu’à la poser à votre député.

Url court : http://is.gd/DOntJL

Aucun commentaire:

Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001