L’hypocrisie des élus ne cessera jamais de nous étonner. Au
delà des cas cités de BPR et des cinq entreprises, dont «Québecor et Bell», qui
avaient eu, selon l’article, des communications illégales avec des titulaires
de charge publique relativement au projet d’amphithéâtre de la Ville de Québec
et dont le DPCP avait jugé les preuves insuffisantes afin d’intenter des
poursuites criminelles, il importe ici de se pencher sur le cas des lobbys
publics, financés à même nos taxes et impôts, et dont le seul objectif consiste
à influencer les élus, détenteurs des cordons de la bourse, afin de leur verser
toujours davantage de subventions, utilisées à seule fin de diffuser leurs
idées sociopathes. Je fais référence ici à la Fédération des femmes du Québec,
au Conseil du Statut de la femme et au Secrétariat à la condition féminine.
Notons en passant que ces lobbys ont tatoué sur le cœur la
quête d’égalité alors qu’aucune contrepartie n’existe pour exprimer le point de
vue de l’autre moitié de la population, celle qui est né avec une virgule dans
l’entre-jambe. Il faut en déduire ici que le concept d’égalité relève aujourd’hui
de la novlangue, concept développé par Georges Orwell dans son roman d’anticipation
1984.
Si ce gouvernement désire véritablement rétablir l’ordre au
sein des activités des lobbyistes, il doit impérativement mettre fin à ce
gaspillage injustifiable de fonds publics investis à pure perte dans des organismes
alimentés par des idéologues sectaires qui militent à l’avènement d’une société
assujettie à la suprématie féminine.
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