Suite à des inquiétudes face à une mère en détresse psychologique et menaçante quant à la sécurité de ses enfants, Larry Shannon a signalé le 911.
Conformément au protocole policier d'intervention en matière de violence conjugale, Larry Sannon a été arrêté et emprisonné...accusé de violence conjugale et par la suite un juge a ordonné interdiction de se trouver au Québec, sa province de résidence.
Pendant son incarcération, avec la complicité de la DPJ, la mère des enfants est disparue avec les enfants.
Son lieu de résidence étant temporairement en Ontario, Larry n'a pas droit à l'aide juridique, et maintenant sans emploi, ne peut se payer les services d'un avocat.
La mère, qui vient de réaparaître, vient de déposer une requête de garde exclusive à la Cour de New Carlisle en Gaspésie...une réponse à la requête adressé au juge et produite par Larry a permis de retarder l'audience au 18 avril prochain.
Il doit aller défendre ses liens père-enfants à la Cour à New Carlisle en Gaspésie.
Pour ce faire, il doit louer une voiture et s'y rendre.
Larry Shannon a besoin de votre solidarité financière...pas de bons vœux.
Quelques dollars de chacun de nous et il aura au moins quelques chances que justice soit rendue. et que ses enfants aient encore un père.
Orwellian State At The UN Women's Conference By Carey Roberts (03/10/05)
For sheer propaganda value, it doesn’t get any better than the United Nations women’s conference, which wraps up later this week in New York City.
No doubt you are wondering why your local newspaper didn’t cover this historic event. The reason is, the sessions were so mired in fem-speak and harsh rhetoric that the ultra-liberal “New York Times” decided to take a pass. Ditto for the “Washington Post” and “Boston Globe.”
Ten years ago in Beijing, the Commission on the Status of Women conference gave its speakers free rein. But then Madame Hillary let loose with her keynote rant, making nonsense claims such as “Women are 70% of the world’s poor”.
This time around the conference planners learned their lesson. Everything was scripted, right down to the snappy slogans and approved list of grievances. Once you heard UN secretary-general Kofi Annan give his welcoming speech, you knew you were going to be hearing a lot about “gender equality and women’s empowerment.”
Of course, it’s all a ruse.
When the Sisterhood speaks of “equality,” equal opportunities for men and women are the last thing they have in mind. In fact, “equal opportunity” appeared to be on the conference organizer’s list of banned expressions. Feminists don’t like the O-word because it implies women might need to operate on an even and fair basis with men.
So when feminists claim to be in favor of gender equality, they are really referring to a genderless society. “Gender equality” means “genderless society.” Get it?
Then there’s the mantra of “women’s empowerment” -- that one is even more disingenuous. Feminists think of “empowerment” in the neo-Marxist sense – inducing women to become angry and resentful, thus driving a wedge between the sexes and undermining marriage, the most fundamental unit of society.
Propaganda is a slippery slope. Once you tell an untruth, you have to come up with more falsehoods in order to be consistent.
These are a few examples of the lies that filled the halls of the United Nations this past week:
Eduardo Sevilla, acting president of the UN General Assembly, alleged that women are “discriminated against more than any other minority.” That statement contains two absurdities. First, women represent a majority of the world’s population. Second, Sevilla’s remark flatly ignores the ethnic-cleansing that has been directed against minority populations in Rwanda, Bosnia, Iraq, and elsewhere.
Then Munir Akram, president of the UN Economic and Social Council, repeated the old myth about women being the main victims of war. Apparently Mr. Akram never got around to reading the PRIO “Armed Conflict Deaths Disaggregated by Gender” which documented that more men than women died of war-related injuries in overall survey.
Next the ever-shrill Noeleen Heyzer, executive director of the UN Development Fund for Women (UNIFEM), stepped to the podium and claimed that “violence against women has become routine as a weapon of war.” That hyper-inflated remark ignores the fact that women are just as likely to commit domestic violence as men.
Several speakers fell back on the old stand-by, the gender wage gap, even though that shibboleth has now been thoroughly debunked. Propagandists care little about the facts, because the ends always justify the means.
Really, how can so many well-educated, highly-placed UN officials say so many stupid things?
After listening all day to the ideological slogans, factual distortions, and emotional harangues, one almost begins to believe they are true. That’s how brainwashing works.
The history of 20th century Europe offers a cautionary tale of social movements that promised a better future, but in truth were fueled by lies and anger. Looking back, no one doubts the sinister nature of those movements.
Now in 2005, the face of modern-day evil is beginning to emerge. That face wears the mask of radical feminism. And slowly but surely, that divisive ideology is taking hold at the United Nations.
( Amended version to rectify broken URL links from UN website )
À titre d’officier de justice, le rôle du procureur de la couronne ne consiste pas à « gagner » une cause qui n'existe pas, mais bien de tout déployer son expertise afin que justice soit rendue. Or il appert qu'une partie non négligeable de précieuses ressources mises à la disposition des procureurs de la couronne en matière criminelle est gaspillée à persécuter des pères de familles traduits en justice sous de fallacieux prétextes.
Si, au lieu d'estampiller à l'aveugle les actes d'accusations acheminés par les policiers, les procureurs de la couronne avaient l'initiative d'effectuer le travail pour lequel ils demandent aujourd'hui davantage d'émoluments, ils éviteraient de grever les ressources de la cour avec des dossiers instruits à seule fin d'avoir la main haute dans les procédures civiles initiées en parallèle. Et ils éviteraient à une quantité de juges à se salir les mains en sanctionnant des crimes inexistants.
De plus, le simple fait d'effectuer leur travail aurait le mérite de mettre un terme à la violation systématique des droits réputés fondamentaux par les agents de police qui procèdent à l'arrestation de n'importe quel homme en situation de couple dès que sa partenaire appelle les services d'urgence, sans égard aux faits et surtout sans jamais procéder à la moindre enquête.
Comme vous pouvez le constater, ce ne sont pas les ressources qui manquent mais bien le talent et la volonté de les utiliser à bon escient.
La perversion semble être un pré requis pour exercer le métier de juge. Cette histoire ne représente en fait que la pointe de l'iceberg. Souvenez-vous que c'est la cour suprême qui a autorisé les clubs échangistes et les mariages entre gens de la joyeuse minorité.
Un autre exemple qui est passé sous le radar médiatique local en 2009. Dans cette histoire, nous apprenons comment deux juges de la cour de Pennsylvanie siégeant en matière juvénile ont conspiré année après année pour expédier des milliers de « délinquants juvéniles » derrière les barreaux dans une institution de détention privée tout en encaissant de volumineuses enveloppes brunes en retour d’ascenseur.
La tragédie de Steve McNair et plus près de nous celle du boxer Arturo Gatti nous rappelle que les hommes sont souvent les victimes de leurs conjointes et petites amies.
Les autorités policières sont arrivées récemment à la conclusion que l’étoile du football américain Steve McNair des Ravens de Baltimore avait succombé à ses blessures après avoir été tiré à bout portant par son amie de cœur Sahel Kazemi dans un acte de meurtre suivi d’un suicide. Pourtant, alors qu’il existe au-delà de 10 000 liens lorsque l’on effectue une recherche pour «Steve McNair» dans les nouvelles Google, rare sont ceux qui mentionnent l’expression de «violence conjugale.»
Dans la plupart des cas, la violence des femmes envers leur conjoint est passée sous silence sans jamais que le terme de violence domestique ne soit invoqué. Les autorités légales, le système judiciaire, les médias et l’industrie de la violence domestique sont encore aujourd’hui enfermés dans le mythe désuet de «l’homme bourreau/femme victime» lorsqu’il est question de violence domestique. Pourtant, au-delà de 200 études académiques démontrent que les femmes sont à l’origine de scènes de ménage dans une proportion équivalente à leurs partenaires masculins. Dans les couples hétérosexuels, environ le tiers des incidents de violence conjugale causant des lésions pouvant aller jusqu’à l’homicide sont attribuables aux hommes. Les études à ce sujet démontrent que les femmes compensent leur infériorité physique en utilisant des armes et en attaquant par surprise, comme l’a fait Mme Kazemi.
La plus récente étude à grande échelle sur le phénomène de la violence domestique fut menée par une équipe de chercheurs rattachés à Harvard et publiée dans la Revue Américaine de santé publique. Après avoir interrogé plus de 11 000 hommes et femmes à ce sujet, cette étude démontre que 50 % de la violence au sein du couple était réciproque, c’est-à-dire impliquant les deux parties. Dans ces cas, les femmes étaient le plus souvent celles qui initiaient cette violence. De plus, lorsque que la violence était initiée par un seul partenaire, les hommes et les femmes en étaient responsables dans 70% des cas interrogés.
Une nouvelle étude portant sur la violence domestique rassemblée par la chercheuse Deborah Capaldie, une scientifique sociologue rattachée à l’institut de recherche sociale de l’Oregon, démontre que le scénario le plus dangereux, à la fois pour les hommes et les femmes, c’est lorsque qu’ils sont confrontés à de la violence domestique réciproque, particulièrement lorsque la femme en est l’instigatrice.
Il existe des solutions pour protéger les membres du couple confrontés à de la violence domestique. Premièrement, tout comme nous avons stigmatisé les hommes qui frappent leur conjointe, nous devons désormais décourager les femmes à frapper leur conjoint. Mme Capaldi croit que la façon la plus sûre d’être en sécurité pour les femmes, c’est de ne pas initier la violence contre leur partenaire masculin. Elle précise : « La question de la personne qui initie la violence est cruciale… La plupart des actes de violence conjugale sont mutuels et l’instigateur, même dans les incidents mineurs, peut conduire à l’escalade.»
Deuxièmement, lorsqu’il est sécuritaire d’agir ainsi, le système érigé pour contrer la violence domestique doit traiter les couples violents comme des couples violents plutôt que d’appliquer les vieux stéréotypes de l’homme bourreau et de la femme victime. Les services de thérapie pour couple violent sont rares. Une autorité en la matière, Lonnie R. Hazelwood, précise que l’industrie de la violence domestique « a été très efficace pour adopter des lois qui interdisent la thérapie de couple et éliminent les programmes qui font appel à des stratégies incluant les deux partenaires. »
Troisièmement, des services sont requis pour aider les hommes victimes de violence conjugale. Denise Hines de l’université Clark a démontré que lorsqu’un homme abusé appelle la police, c’est lui plutôt que sa partenaire abusive qui est le plus susceptible de se faire embarquer. Cette situation résulte de l’adoption de politique répressive comme la fameuse «Politique d’intervention en matière de violence conjugale» du gouvernement du Québec prônant la tolérance zéro en la matière. Or tolérance zéro rime trop souvent avec intelligence zéro. En raison de la mise en œuvre de ces politiques, les agents de police se moquent de qui a initié la confrontation. Ils vont plutôt s’attarder à d’autres facteurs comme la taille et la force, ce qui fait que l’homme est beaucoup plus susceptible de se faire arrêter. Lorsque les hommes participant à l’étude de Mme Hinse ont tenté de communiquer avec les services d’écoute mise en place pour contrer la violence domestique, 64 % d’entre eux se sont fait répondre que ce service ne s’adressait qu’aux femmes, et plus de la moitié se sont vu référer à des programmes pour traiter les hommes violents.
Quatrièmement, il faudrait également s’assurer que les hommes victimes de violence conjugale ne perdront pas accès à leurs enfants lors des procédures judiciaires pour déterminer qui aura la garde des enfants. Mme Hinse a démontré que la principale raison pour laquelle un homme demeure dans une situation où il subit des sévices, c’est par considération pour les enfants. S’ils quittent, leurs enfants demeurent sans défense entre les mains d’une mère violente. S’ils quittent avec les enfants, aussitôt qu’ils sont retrouvés, les enfants sont retournés à la mère.
Probablement qu’aucune de ces stratégies n’aurait permis de sauver la vie de Steve McNair ou d’Arturo Gatti. Mais la violence domestique au féminin est loin d’être un phénomène marginal. Il ne s’agit pas non plus d’une trivialité. En faire abstraction contribue à nuire à la fois aux couples et à leurs enfants.
Traduction libre et adaptée d’un article signé conjointement par le Dr Ned Holstein, un spécialiste en santé publique rattaché à l’école de médecine du Mount Sinai et fondateur du mouvement Fathers & Family, et Glen Sacks est le directeur exécutif de cette organisation.
Tel est du moins la position affichée par le PM Charest, à la tête du gouvernement le plus corrompu de mémoire de Québécois. Il y a des odeurs de fumier dans l’air. Car non seulement, cet imbécile heureux nous prend pour des valises en nous mentant en pleine face tout en arborant un sourire narquois, mais encore a-t-il le culot de s’acharner contre ceux qui osent remettre en doute son intégrité. Souvenons nous du travail d’enquête effectué en 2006 par Patrick Bourgeois et dont les journalistes du journal de Sherbrooke Pascal Morin et Alain Bérubé avaient fait écho, ce qui leur valu rien de moins qu’un congédiement simplement parce qu’ils avaient laissé planer la possibilité que Charest aurait bénéficié d’un « pont d’or » pour venir effectuer ses magouilles au Québec tout en vivant largement au dessus de ses moyens « officiels ». Faut dire qu’à l’école de Brian Mulroney, il avait eu un mentor de toute première classe. Par la suite, Charest avait été obligé d’admettre avoir touché 750 000$ en franchise d’impôt sur une période de 10 ans provenant d’un fond secret du PLQ, ce qui ne l’a même pas empêché de se faire réélire… Depuis quelque temps, les médias semblent être un peu moins complaisants à son égard. Cependant, la culture de corruption dépasse largement le cercle des amis du pouvoir et s’étend à bien d’autres sphères d’activité tels la justice et son bras armé, la police. Pour illustrer mon propos, je m’attarderai au traitement réservé par la juge Sophie Bourque aux membres notoires de gang de rue, meurtriers présumés du jeune Raymond Ellis, relâchés dans la nature parce que la police et la couronne ont magouillé dans le dos de la cour. Dans cette affaire, il y a quand même eu mort d’homme, il ne faut pas l’oublier.
Cette justice bien particulière n’a rien d’unique. Contrairement aux enseignements de la doctrine et des lois judiciaires, cette même juge, dans un autre procès devant juge et jury, entérine le verdict, mais sans le répéter alors que ce verdict, le moment le plus crucial du procès est… inaudible sur les enregistrements de la cour ! Ne me croyez surtout pas mais de grâce, vérifiez par vous-même
Et ce n’est que la pointe de l’iceberg…
Un grand ménage s’impose et le plus tôt sera le mieux. Nos prisons en constante situation de surpopulation regorgent de pères de familles innocents sous tout rapport. Il faudrait les libérer pour faire de la place pour ces politiciens véreux, ces juges prévaricateurs et cette police digne de la Gestapo.
Il y a deux ans, Terri a admis avoir à mauvais escient utilisé le réseau de refuges pour héberger les femmes en difficulté. Bien que son conjoint ne l’ait jamais violenté, elle a reconnu à l’occasion d’une conférence ayant pour thème l’incidence des fausses allégations en matière de droit familial à Winnipeg, avoir menti à elle-même et au personnel du refuge, parce qu’elle avait tout à y gagner et qu’une chose semblable était particulièrement facile dans le contexte actuel.
Terri raconte qu’en sept ans de vie commune, le problème de consommation d’alcool de son conjoint avait rendu sa relation particulièrement difficile, et admet avoir déjà quitté son conjoint. Sa mère, dit-elle, lui avait à ce moment conseillé d’aller se réfugier dans un centre de crise en pensant que le personnel sur place allait lui être d’un grand secours pour atteindre sa quête d’autonomie. Terri (qui a choisi l’anonymat pour éviter des ennuis supplémentaires à son ex conjoint), mentionne avoir communiqué par téléphone avec un refuge de Winnipeg et s’être fait répondre que seules les femmes violentées y étaient admises. « Je me suis rendu cogner à leur porte, j’ai pleuré et j’ai raconté que mon conjoint était violent. Mes enfants n’étaient pas présents à ce moment parce que je ne voulais pas qu’ils soient témoins de la méthode utilisée pour y être admise ».
Terri dit que l’intervenante a cru d’emblée son histoire sans poser la moindre question. Alors, après être retournée chercher ses fils, âgés de trois et six ans, elle est revenue au refuge pour se faire expliquer par le personnel comment procéder pour gagner au tribunal une cause de divorce.
Terri relate comment les résidentes se faisaient expliquer que « la première chose à faire était d’obtenir une ordonnance de non communication à l’encontre du conjoint. Nous devions rédiger une plainte écrite avant de se rendre chez un avocat ».
Dans le cas de Terri, le résultat fut consigné dans un affidavit de 10 pages n’alléguant pas que le conjoint était violent, mais plutôt qu’il présentait les caractéristiques communes aux alcooliques. « Plusieurs d’éléments mentionnés à son sujet dans ce document de cour concernaient son hygiène personnelle. Je me plaignais d’avoir de fréquentes infections urinaires parce qu’il ne se lavait jamais ». Sur la base de cet affidavit dit-elle, « J’ai obtenu l’ordonnance de non communication et sans plus tarder, la garde exclusive de mes enfants sans droit de visite pour mon ex mari ».
Par la suite, les véritables conséquences de son geste ont fait surface. « J’ai réalisé ce que je venais de faire. En un an, mes enfants n’ont pas revu leur père et en aucun temps n’ai-je crains pour ma sécurité ni celle de mes enfants, » raconte Terri, devenu thérapeute à l’âge de 36 ans. « Tout le processus était biaisé. J’avais le refuge et le mouvement des femmes de mon côté ».
Au cours des audiences de la commission parlementaire sur les modalités de garde et de droit d’accès plus tôt cette année, (le rapport final doit être déposé au début décembre), les porte-parole des refuges de femmes sont intervenues avec beaucoup de virulence. Leur propension à dépeindre tous les pères impliqués dans des conflits de garde comme des abuseurs et les mères comme des victimes éplorées n’a pas surpris grand monde dans la communauté des avocats et des groupes communautaires préoccupés par le rôle prépondérant occupé par les refuges dans les histoires de divorce. En plus de fournir l’encadrement moral aux femmes qui viennent cogner à leur porte, les refuges rédigent également des lettres de soutien qui deviennent des instruments hautement préjudiciables aux conjoints dans leurs dossiers juridiques — et ce malgré le fait que le personnel en question ne rencontre jamais l’individu concerné, n’entend qu’une seule version de l’histoire et ne connaît la femme que depuis une brève période dans des conditions particulièrement artificielles.
Susan Baragar, qui exerce principalement sa profession d’avocate en droit familial à Winnipeg, se décrit comme une féministe mais reconnaît néanmoins que « c’est devenu ‘trop facile’ pour une femme d’obtenir ce type de lettres d’un refuge et qu’elles représentent une arme redoutable ».
Les juges sont « définitivement coincés » lorsqu’une femme séjourne dans un refuge et que les documents de cour présentent une lettre émanant du centre mentionnant que le père est dangereux, relate Mme Baragar. « Je veux dire, vous avez là un genre de 'professionnel' qui affirme que le père ne devrait pas voir ses enfants ».
Mme Baragar a elle-même fait bon usage de ces tactiques au bénéfice de ses clientes. Dans une affaire récente, elle relate la fois où elle représentait une femme qui « s’était présentée avec une lettre de deux-trois pages jointe à un affidavit et comment [le père] s’était vu refuser l’accès sur cette seule prémisse. Rien d’autre. Cela dépend du juge. Certains juges sont plus prudents que d’autres. Mais dans ce cas précis, le père s’était définitivement vu refuser l’accès ».
Mme Baragar raconte que l’avocat de la partie adverse « a eu beau argumenter qu’il ne pouvait s’agir d’un point de vue impartial, que les deux parties en cause n’avaient pas été interrogées, il n’y avait rien à faire ».
Et, comme le parent qui se voit confier la garde en premier est à peu près certain de la conserver par la suite, (les autorités sont réticentes à perturber de nouveau la vie de jeunes enfants), les relations pères-enfants sont souvent irrémédiablement compromises sur la seule base d’un ouï-dire provenant du personnel d’un refuge.
En 1995, une intervenante travaillant dans un refuge de Winnipeg a rédigé une lettre de deux pages en faveur d’une résidente. La travailleuse avait, dès leur première rencontre, été capable d’affirmer que la femme « avait été victime d’abus dans sa jeunesse et dans sa vie d’adulte par la suite ». Mentionnant espérer que « la cour tienne compte de sa lettre de support, » la travailleuse précisait que la femme était une personne « intelligente, profonde et sincère ».
Mais en 1997, après avoir entendu les arguments développés par la conjointe et les services sociaux et familiaux de Winnipeg, un juge en est arrivé à une toute autre conclusion. Dès la jeune vingtaine, la femme avait déjà effectué sept plaintes d’abus sexuels impliquant onze personnes différentes. (La seule plainte digne d’intérêt s’était soldée par un verdict d’acquittement.) « À un moment ou à un autre, » écrivait le juge, la femme avait « accusé son père, son frère et sa sœur de l’avoir abusé sexuellement ». Du point de vue du juge, sa crédibilité était minée par le fait que « malgré toutes ces allégations, elle n’avait aucune hésitation à vivre avec son père et sa sœur et à confier ses propres enfants à son père ». Éventuellement, cette femme a abandonné sa lutte en vue d’obtenir la garde et les enfants furent placés sous l’autorité de la grand-mère.
À Burlington, en Ontario, en 1995, l’intervenante d’un refuge rédigea une lettre en faveur d’une cliente au sujet de sa relation avec ses enfants, une petite fille de deux ans et un garçon de douze ans. Même si les enfants ne l’avaient rejointe au centre que depuis huit jours, l’employée n’a eu aucune hésitation à déclarer qu’elle était une « mère dévouée et affectueuse » et exprimait sa « profonde conviction » que la garde des enfants devait être attribuée à elle plutôt qu’au conjoint qu’elle venait de quitter.
Or, dans cette affaire, il s’est avéré que le dossier de cette mère n’avait rien de reluisant. Quatre années auparavant, la société de l’aide à l’enfance avait persuadé le tribunal qu’elle constituait un réel danger pour son fils et sa fille aînée, alors âgée de douze ans, qui ne l’avait pas suivi au refuge.
Après avoir supervisé la situation pendant trois mois, un travailleur de la Société de l’Aide à l’Enfance a mentionné au tribunal que les deux enfants « admettaient craindre leur mère la plupart du temps ». À une occasion, elle aurait menacé le conjoint avec un couteau en plus de menacer de s’enlever la vie. À un autre moment, elle aurait « ouvert la porte de l’auto qui filait sur l’autoroute en menaçant de sauter ». Le travailleur fit remarquer qu’à « chacune de ces occasions, les enfants étaient présents ». Malgré tout cela, le tribunal a quand même accordé la garde des enfants à la femme.
Dans un autre refuge situé à Orillia, Ontario, une travailleuse a rédigé en 1994 une lettre relative à l’attribution de la garde de deux garçons, âgée respectivement de deux et trois ans. Nonobstant le fait que la cause n’avait jamais été entendue devant les tribunaux, cette travailleuse affirmait que la mère « avaitété agressée physiquement » par son conjoint avant de venir se refugier dans leur maison. Le simple fait d’être venu demander assistance auprès de leurs services constituait une preuve qu’elle était « un parent dévoué et consciencieux ». La lettre concluait avec l’affirmation que « cela occasionnerait un grand préjudice » aux enfants si la garde n’était pas dévolue à la mère. Grâce à cette lettre, la garde a effectivement été confiée à la mère.
En 1997, l’intervenante d’un refuge situé à Toronto a rédigé une lettre en faveur d’une femme hébergée depuis six semaines. Elle y affirmait résolument que la femme avait été abusée « physiquement et émotionnellement » par le conjoint qu’elle quittait et qu’en plus, « ses enfants étaient toute sa vie, » ce qui motivait tous les recours pour obtenir la garde de ses enfants. Cependant, dans un rapport daté d’une semaine avant la rédaction de cette lettre émanant du refuge, le psychologue qui avait rencontré la femme lors de son séjour avait noté que « jamais, elle n’avait été frappée physiquement » par le conjoint. La garde intérimaire a néanmoins été accordée à la mère.
Mme Baragar a déjà réussi à faire retirer du dossier de la cour certaines lettres émanant des centres de crise lorsque l’on tenta de les utiliser contre ses clients. « Techniquement, la règle de base est que vous n’êtes pas censé joindre aucun élément supplémentaire à l’affidavit de quelqu’un d’autre, » dit-elle. « Lorsque j’aperçois ce genre de lettre, je sors de mes gonds et j’insiste pour qu’elles soient produites dans un affidavit séparé et assermenté — ce qui me confère le droit de questionner l’auteur de la déclaration [Les travailleuses sociales], ce qui est suffisant pour les faire fuir. Elles n’aiment pas se compromettre au moyen d’affidavit ». De nombreux avocats dit-elle ne sont pas familiers avec ces tactiques.
Mary McManus, une avocate de Victoria, B.C., partage les préoccupations de Mme Baragar. Bien que partageant l’opinion que les « refuges sont très importants et jouent un rôle utile, » elle croit que les intervenantes devraient être prudentes lorsqu’elles expriment des opinions personnelles au sujet de situations dont elles n’ont qu’une connaissance fragmentaire.
« Les intervenantes dans les refuges proviennent de milieux divers en terme d”expérience et d’éducation. Ce qu’elles racontent peut bien être pertinent, mais peut tout autant ne pas l’être ».
Mme McManus concède que le tribunal « tend à accorder une place prépondérante au simple fait que la femme se soit rendue dans un refuge. J’ai une grande expérience des enquêtes sur caution lorsque des hommes sont accusés de maltraitance à l’égard de leurs conjointes. Le simple fait que la conjointe réside dans un refuge suffit à démontrer qu’il y a eu abus ».
Greta Smith, la directrice exécutrice de la Société des maisons de transition de la région du Yukon/Colombie-Britannique mentionne que son organisation n’a pas de politique établie au sujet des lettres favorable à ses clientes. Bien qu’elle admette qu’il soit « possible que certaines maisons de transition puissent rédiger des lettres d’appui, » l’idée la rend inconfortable.
«J’imagine qu’il me faudrait voir ces lettres. Je suis désolée, j’ai de la misère avec cela. Le fait que certaines personnes puissent rédiger des lettres sans avoir de sérieuses et valides raisons de le faire. Sans voir la lettre et sans connaître les circonstances, cela me serait difficile de m’étendre sur le sujet ».
Lorsqu’on lui pose la question s’il est possible que certaines femmes se présentent au refuge avec un plan stratégique en vue d’un procès, Mme Smith répond: « Tout est possible en ce bas monde, mais je ne crois pas que cela se produise ».
Louise Malenfant, une activiste communautaire à Winnipeg, surnomme les refuges « le guichet unique du divorce pour les femmes, » et semble préoccupée par la politique officielle de « ne pas poser de question ». Elle prétend qu’en plus d’aider les femmes qui font de fausses allégations de violence domestique, les refuges de sa ville ont participé à la fabrication de fausses accusations d’inceste.
Durant les quatre dernières années, Mme Malenfant a représenté quelques 62 individus qui prétendent avoir été faussement accusés d’attouchements sexuels durant les procédures de divorce. Dans un tiers de ces situations dit-elle, il y avait un refuge d’impliqué.
En 1996, durant les audiences publiques concernant la loi sur la famille et les services sociaux du Manitoba, Mme Malenfant a soutenu que les enfants étaient emmenés dans un local à l’écart de leurs mères, pour y être soumis à un programme de sensibilisation aux abus sexuels et questionnés de manière inappropriée par le personnel du centre.
« Si vous exposez de jeunes enfants à du matériel sexuellement explicite et les questionnez sans relâche pendant une semaine ou deux, l’enfant va finir par répéter la leçon qu’il a apprise, » affirme Mme Malenfant au National Post.
Elle soutient que même les mères qui n’auraient pas d’elles-mêmes accusé leurs conjoints d’inceste se sentaient obligé de prendre la situation très au sérieux lorsque les accusations survenaient à l’occasion d’un séjour au refuge. Mme Malenfant a fait une demande publique d’enquête au sujet des centres de refuge et a rédigé des lettres aux représentants du gouvernement dénonçant ce qui s’y trame. Le résultat, cet élément particulier semble avoir disparu. « C’est comme si quelqu’un avait balayé le problème sous le tapis, » raconte Mme Malenfant. « Je n’ai pas vu d’autre cas émanant d’un centre de crise depuis un an. Je ne sais pas ce que [le gouvernement]a fait; tout ce que je sais, c’est que la situation a cessé ».
« C’est extrêmement préoccupant, » raconte Mme Baragar au sujet du rôle joué par les centres de crise dans les situations de divorce et de garde. « D’un point de vue personnel, je m’emporte parce que je crois qu’il existe des situations particulières d’abus et je constate au tribunal comment ces cas sont traités plus légèrement en raison du mensonge omniprésent » qui y prévaut.
Au cours de la dernière année. Mme Baragar rapporte avoir vu un sens croissant de cynisme sur le banc.
« Les juges sont plus enclins à croire qu’il ne s’agit-là que de mensonges. Vous savez, nous en sommes rendus au point où tous les affidavits déposés mentionnaient une situation d’abus. Page après page, il ne s’agissait que d’abus et les affiants étaient disposés à se rendre au centre de crise à ce sujet.
Je veux dire, tout n’est pas de l’abus. Ce n’est pas parce qu’il ne s’agissait pas d’une lune de miel qu’il faut qualifier la situation d’abusive ».
Des groupes de défense des hommes québécois demandent une rétractation complète et un blâme sévère à Me Anne-France Goldwater. L’Association L’Action des nouvelles conjointes et nouveaux conjoints du Québec s’associe à cette demande.
Dans cette affaire de divorce hautement médiatisée, l'avocate de la partie demanderesse, Me Anne-FranceGoldwater, aurait fait, selon ce qu'en témoigne le Journal de Montréal, une déclaration absolument inacceptable, indigne des fonctions qu'elle occupe.
En citant Me Goldwater, l'article de David Santerre du Journal de Montréal nous apprend que « Les femmes dépensent plus d’argent pour leurs enfants alors que les hommes dépensent plus pour leurs voitures, a déclaré mercredi l’avocate de Lola (nom fictif), cette ex-conjointe d’un multimillionnaire québécois qu’elle tente de forcer à lui verser un magot faramineux »
Comment Me Goldwater peut-elle ainsi insulter tous les hommes et particulièrement tous les papas du Québec? Comment le Barreau pourra-t-il supporter que de tels commentaires qui portent ombrage à notre système de justice soient maintenus? Imaginez une seule seconde qu'un avocat fasse une telle déclaration sur la supposée irresponsabilité de toutes les femmes du Québec? Le laisserions-nous faire? Quelles seraient les conséquences?
Nous ne voulons pas commenter spécifiquement l'affaire du divorce concerné. Me Goldwater en voulant salir la réputation de l'ex de sa cliente salit de facto par ses commentaires et ses généralités outrageuses et sexistes tous les hommes du Québec, les pères en particulier.
Nous demandons donc que Me Golwater retire ses propos et qu'un blâme sévère lui soit émis pour ses commentaires qui ne contribuent en rien à l’indépendance de notre système de justice et au respect de nos institutions.
Le jugement hâtif porté par Me Golwater laisse un goût amer dans notre société. Il ne tient aucunement compte des chiffres du percepteur de pensions alimentaires qui confirme que 95% des payeurs de pensions sont des hommes, et qu'ils paient leur pension dans des proportions dépassant les 90%. Encore une fois, les hommes sont dénigrés!
Jean-François Plante Animateur radio et porte parole de la coalition
Cell: 514-258-1926 Bur : 450 218-1258
Le 19 mars 2002, le Parti conservateur du Canada publiait son programme politique, dans lequel au paragraphe 65, intitulé «partage des responsabilités parentales », il déclare: «Un gouvernement conservateur apportera les changements nécessaires à la Loi sur le divorce afin d'assurer qu’en cas de la rupture conjugale, la Loi sur le divorce permette aux deux parents et tous les grands-parents de maintenir une relation significative avec leurs enfants et petits-enfants, sauf s'il est clairement démontré qu’il ne s’agit pas du meilleur intérêt des enfants. "
Après avoir été élu, les conservateurs ont tout oublié au sujet de cette promesse faite à des milliers d'enfants canadiens et leurs familles.
Stephen Harper – en menant sa campagne en bon « père de famille », réfléchissant sur le précieux temps passé avec les enfants et précisant qu’être un père est la plus belle expérience de sa vie - ajoute l’injure à l'insulte. Désormais, il lui faut ajuster ses actes et ses paroles et démontrer qu’il est réellement concerné par la famille.
On March 19, 2002, the Conservative Party of Canada published its Policy Declaration, wherein at paragraph 65, titled "Shared Parenting," it states: "A Conservative Government will make the necessary changes to the Divorce Act to ensure in the event of a marital breakdown, the Divorce Act will allow both parents and all grandparents to maintain a meaningful relationship with their children and grandchildren, unless it is clearly demonstrated not to be in the best interests of the children."
After getting elected, the Conservatives forgot all about their promise to the thousands of Canadian children and their families.
Stephen Harper -- by campaigning as the "family man," reflecting on how precious the time that he spends with his children is and stating that being a father has been the best experience of his life -- has added insult to injury. It's time to walk the talk, family man.