Un des procès les plus médiatisés de l’histoire du Québec contemporain vient de se terminer. Le verdict attendu de la part d’un jury de citoyens a eu l’effet d’une véritable bombe à en lire les innombrables réactions laissées par les internautes dans les différents médias.
De cette histoire qui gravite autour de l’horreur absolue, il importe de savoir que 2 jeunes enfants ont été froidement assassinés par leur père. En vertu des principes élémentaires communément admis en droit, ce geste démentiel proprement criminel doit être sanctionné, ne serait-ce que pour préserver la confiance aujourd’hui bien chancelante du public envers l’institution de la justice. Au terme d’un long exercice se déroulant devant un jury de citoyens dûment instruit en fait et en droit, composé d'une majorité de femmes, faut-il encore préciser, le Dr Guy Turcotte a été reconnu non criminellement responsable du geste pourtant admis et ce après plus de 5 jours de délibération.
Ce verdict a eu l’effet d’un véritable coup de tonnerre dans le ciel livide de la modernité décadente…
Au lendemain de cette étonnante décision, la justice devrait maintenant s’intéresser de plus près au rôle exercé par la mère des enfants sacrifiés dans ce drame afin d’en élucider les tenants et aboutissants. Dans une société qui reconnaît en principe la primauté du droit, il devient prioritaire de déterminer la part de responsabilité de cette femme dans cette tragédie, notamment en raison de la frivolité de ses comportements irresponsables et du harcèlement criminel affiché à l'égard du père des enfants qui s’est vu doublement trahi, à la fois par sa conjointe et celui qu’il croyait à tort être un ami. En outre, une telle analyse aurait l'avantage non négligeable d'envoyer un signal non équivoque à ces femmes endoctrinées qui adhérent sans discernement aux valeurs perverses véhiculées par une idéologie déviante qui prône la déresponsabilisation et l’immoralité débridée.
Rappelons ici comment cette mère de jeunes enfants a, de son libre arbitre, décidé soudainement de sauter la clôture et d’aller batifoler allègrement avec le premier chaud lapin à croiser sa route en se moquant éperdument des conséquences d’une telle étourderie sur son entourage, à commencer par le conjoint, le père des enfants. Dans les sociétés qui adhèrent encore à des valeurs intègres relatives à la fidélité et l’importance fondamentale d’une famille unie dans la vie et l’équilibre psychologique des enfants en devenir, ce geste irréfléchi lui aurait valu à juste titre l’opprobre social, voire la lapidation dans le pire des cas. Au Québec, ces comportements déviants représentent malheureusement la norme qu’il faudrait accepter sans coup férir sous le couvert de la modernité.
Si le meurtre sordide de ces enfants innocents devait nous permettre de nous débarrasser de l’influence délétère du féminisme mesquin, leur sacrifice n’aura pas été vain… En expédiant Isabelle Gaston derrière les barreaux, la justice nous enverrait collectivement un puissant message visant à redorer le blason de cette institution galvaudée mais pourtant essentielle à la pérennité de toute société, la famille traditionnelle constitué d’un Papa, d’une Maman et de lumineux enfants. La recette a traversé avec succès l’épreuve des siècles ; elle devrait également surmonter les écueils semés récemment sur son chemin par des idéologues pervers. Voilà le souhait que cet étonnant verdict nous permet aujourd’hui de formuler…
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