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mercredi 6 juillet 2011

Un étonnant verdict ?

Un des procès les plus médiatisés de l’histoire du Québec contemporain vient de se terminer. Le verdict attendu de la part d’un jury de citoyens a eu l’effet d’une véritable bombe à en lire les innombrables réactions laissées par les internautes dans les différents médias. De cette histoire qui gravite autour de l’horreur absolue, il importe de savoir que 2 jeunes enfants ont été froidement assassinés par leur père. En vertu des principes élémentaires communément admis en droit, ce geste démentiel proprement criminel doit être sanctionné, ne serait-ce que pour préserver la confiance aujourd’hui bien chancelante du public envers l’institution de la justice. Au terme d’un long exercice se déroulant devant un jury de citoyens dûment instruit en fait et en droit, composé d'une majorité de femmes, faut-il encore préciser, le Dr Guy Turcotte a été reconnu non criminellement responsable du geste pourtant admis et ce après plus de 5 jours de délibération.
Ce verdict a eu l’effet d’un véritable coup de tonnerre dans le ciel livide de la modernité décadente…
Au lendemain de cette étonnante décision, la justice devrait maintenant s’intéresser de plus près au rôle exercé par la mère des enfants sacrifiés dans ce drame afin d’en élucider les tenants et aboutissants. Dans une société qui reconnaît en principe la primauté du droit, il devient prioritaire de déterminer la part de responsabilité de cette femme dans cette tragédie, notamment en raison de la frivolité de ses comportements irresponsables et du harcèlement criminel affiché à l'égard du père des enfants qui s’est vu doublement trahi, à la fois par sa conjointe et celui qu’il croyait à tort être un ami. En outre, une telle analyse aurait l'avantage non négligeable d'envoyer un signal non équivoque à ces femmes endoctrinées qui adhérent sans discernement aux valeurs perverses véhiculées par une idéologie déviante qui prône la déresponsabilisation et l’immoralité débridée.
Rappelons ici comment cette mère de jeunes enfants a, de son libre arbitre, décidé soudainement de sauter la clôture et d’aller batifoler allègrement avec le premier chaud lapin à croiser sa route en se moquant éperdument des conséquences d’une telle étourderie sur son entourage, à commencer par le conjoint, le père des enfants. Dans les sociétés qui adhèrent encore à des valeurs intègres relatives à la fidélité et l’importance fondamentale d’une famille unie dans la vie et l’équilibre psychologique des enfants en devenir, ce geste irréfléchi lui aurait valu à juste titre l’opprobre social, voire la lapidation dans le pire des cas. Au Québec, ces comportements déviants représentent malheureusement la norme qu’il faudrait accepter sans coup férir sous le couvert de la modernité.
Si le meurtre sordide de ces enfants innocents devait nous permettre de nous débarrasser de l’influence délétère du féminisme mesquin, leur sacrifice n’aura pas été vain… En expédiant Isabelle Gaston derrière les barreaux, la justice nous enverrait collectivement un puissant message visant à redorer le blason de cette institution galvaudée mais pourtant essentielle à la pérennité de toute société, la famille traditionnelle constitué d’un Papa, d’une Maman et de lumineux enfants. La recette a traversé avec succès l’épreuve des siècles ; elle devrait également surmonter les écueils semés récemment sur son chemin par des idéologues pervers. Voilà le souhait que cet étonnant verdict nous permet aujourd’hui de formuler… 

URL court : http://bit.ly/1eEJ2hm

mercredi 19 mai 2010

L'avortement en question

Bonjour Sylvain,

J'ai écouté votre émission ce matin ( 18/05/2010 ) et le sujet sur l'avortement vient me chercher profondément. J'adore les enfants et je crois que ces petis êtres ont le droit à la vie comme tout le monde. Je suis contre l'avortement. Cependant, je sais qu'il y a des exceptions et je suis entièrement d'accord pour les interruptions de grossesse en cas de problèmes sérieux. De nos jours, l'avortement est devenu un moyen contraceptif. Il n'est pas rare que des jeunes filles en soient à leur 5e et 6e avortement. Je ne peux pas croire que la société soit en accord avec ça et qu'en plus on défraie les coûts. Les contraceptifs sont là pour empêcher les grossesses pas l'avortement. Je regrette mais lorsqu'on peut entendre les battements de coeur d'un foetus, il s'agit là d'un être humain, pas d'un déchet pour la poubelle. Où est donc passé la CONSCIENCE? Et ça n'a rien à voir avec les religions. Les jeunes femmes d'aujourd'hui ne veulent pas entendre parler de rouvrir le débat sur l'avortement car le fait qu'il y ait une loi qui existe les déculpabilise. Elles ne se posent pas de questions, c'est permis par la loi. Il n'en demeure pas moins qu'elles enlèvent le droit à un être humain de vivre; le même droit que leur propre mère leur a donné en leur permettant de naître. Si une grossesse n'est pas désirée, il reste l'option de donner l'enfant en adoption à une famille qui sera plus qu'heureuse d'élever cet enfant et de lui permettre de devenir une personne qui pourra un jour redonner à la société. Des centaines de couples dépensent des fortunes pour l'adoption; ils doivent se tourner vers les pays étrangers pour réaliser leur rêve de devenir des parents. De nos jours, l'égoïsme des femmes est à un point tel qu'elles oublient tout le reste. Les enfants, c'est le cadet de leurs soucis. Heureusement, il y a encore quelques exceptions; certaines femmes n'hésiteront pas à faire passer leur petite personne et leur carrière au second plan pour quelques années. Ces femmes sont conscientes de la grandeur et de la beauté de mettre au monde ces petits êtres que j'appelle les "petits trésors de la vie". Ils nous comblent d'un amour inconditionnel, peut-on en dire autant des adultes?
Noëlla

Édité le 18 mai 2010 à 15h02 par Noella Lessard

Source

Url court : http://is.gd/WXm2UV

mardi 23 mars 2010

Le Québec moderne...

La société québécoise, par ses lois, a criminalisé l'amour et le mariage.


Le pire, c'est qu'elle en est fière!


Combien d'immigrants débarquent au Québec avec l'intention de s'y marier? Combien y viennent avec femmes et enfants? Combien de couples mixtes rêvent d'une union au Québec qui leur donnerait un droit d'établissement ?


Un ami récemment divorcé m'a confié que le Québec était aux hommes ce que l'Afghanistan des Talibans était aux femmes!


Et il m'expliqua pourquoi.


S'ils prenaient la peine de regarder des films québécois, les futurs immigrants y trouveraient dépeint une grande souffrance morale, une poignante misère dans les relations homme-femme, des amours malades, des familles déchirées, des suicides à la tonne, des pleurs, des désillusions, des rapports malsains...


Le Québec est une société tellement malade de sa famille que cela fait frémir.


S'ils le savaient, les futurs immigrants éviteraient cet enfer annoncé auquel ils souscrivent pourtant joyeusement devant un juge, sous le sourire de celle qui leur passera tôt ou tard la corde au cou pour les pendre.


Au Québec, l'homme est seul; l'homme est coupable; l'homme est criminalisé, humilié et réduit à l'état de porte-monnaie sans âme ni bonté.


Au Québec, dans son rapport avec la femme, l'homme est le grand perdant annoncé d'un couple où son rôle est réduit à deux critères élémentaires :


- assurer l'équilibre sexuel de sa partenaire;

- lui assurer aussi son équilibre budgétaire.


(Lire le livre de George Dupuy COUPABLE D'ETRE UN HOMME)


Je sais, vous allez dire que j'exagère, que c'est mensonger, que ce n'est pas possible, que je critique encore et toujours.


Les immigrants veulent des rêves, des fleurs, des papillons et des violons.


La réalité amère, la déroute sociale, l'écœurante injustice d'une société matriarcale qui compte le plus grand nombre d'hommes suicidés au monde, ils ne veulent pas le voir. Ils pensent passer à côté!


L'immigrant au Québec est la plus grosse autruche que je connaisse.


Certains en font des élevages, le Québec les fait venir par milliers chaque année.


Le mariage, la femme nue


Le Québec est une société matriarcale, l'ai-je répété une bonne vingtaine de fois dans de nombreux articles. Une femme qui immigre au Québec y trouvera un bonheur certain: tout est fait pour elle.


  • Elle veut travailler? Toutes les portes lui sont ouvertes.
  • Elle veut étudier? Programmes de formation sur mesure et associations subventionnées multiples.
  • Elle veut un enfant? Les hommes sont tellement aux abois, à errer de bars-de-danseuses à agence de rencontres qu'elle n'aura que l'embarras du choix.
  • Elle veut garder l'enfant? L'homme peut se mettre dehors du jour au lendemain.
  • Elle veut de l'argent? L'homme qu'elle a mis dehors la veille lui assurera une rente confortable, par saisie directe sur salaire.
  • Elle en a assez des hommes? Montréal est une des plus grosses capitales de lesbiennes au monde.

Par contre, l'homme au Québec aura aussi peu de latitude que d'espoir d'y vivre une vie épanouissante. D'ailleurs, nombreux des immigrants que j'ai rencontrés sont rentrés dans l'une des deux catégories suivantes:


  • Arrivés mariés au Québec (et heureux), ils se sont divorcés. Normal, le Québec compte un des plus hauts taux de divorces au monde. Pour une femme, se marier, c'est comme jouer à la Loto. Divorcer, c'est tirer les 5 numéros gagnants. Célibataires, ils cherchent toujours l'âme sœur après de nombreuses aventures sans lendemain et d'innombrables ruptures déroutantes.
  • Quand l'homme est originaire du Maghreb, son problème est plus grand encore.
  • S'il est marié, il va mettre son couple en grand danger, car l'épouse sera vite happée par la communauté sur place et mise au pas du féminisme retrouvé. Le divorce viendra vite, comme pour la majorité d'entre ceux qui sont venus et qui y ont tout perdu: femmes, enfants, dignité, respect, finances...
  • S'il est célibataire, il va se retrouver devant deux problèmes insurmontables. Les Québécoises promettent l'ivresse d'une intégration sur l'oreiller.
  • S'il veut trouver son amie parmi la communauté féminine Arabe, il aura d'autant plus de mal que celles-ci optent pour les Québécois, pour les mêmes raisons que lui voulaient initialement une Québécoise (en vain). Sauf que les femmes auront moins de problèmes que les hommes.

Mais qu'il se rassure: Montréal recense un nombre impressionnant de bars de danseuses nues où il pourra se rincer l'œil sans y laisser un demi-mois de salaire en pension alimentaire à vie.


Si l'homme vient d'Europe, il aura moins de problèmes en apparence quoique autant sur le fond. S'il arrive marié, les chances qu'il divorce dans les 3 ans au Québec sont terriblement élevées.


S'il est célibataire, certes, les Québécoises lui seront facile d'accès, mais pour du court terme seulement. Au bout d'un moment, l'exotisme s'étant estompé, chacun reprendra son chemin. Si un mariage a été célébré autre temps, le divorce fera connaître à l'heureux immigrant les meilleurs cotés de la province.


Le divorce, l'homme nu


Si l'homme au Québec a commis l'audace des deux crimes suivants:


- il s'est marié

- il a eu un ou plusieurs enfants;


il est considéré comme un criminel en puissance.


En effet, sa conjointe peut à tout moment plier bagages et partir refaire sa vie en vidant celle de l'ex.


Le contrat de mariage est un contrat dont les termes lient l'homme à la femme seulement, et non l'inverse.


Le Québec a réussi à faire d'un contrat d'amour un modèle de haine:

- La femme peut en briser les termes sans renoncer aux avantages du bris.


Un peu comme si vous rameniez une voiture abîmée par votre faute chez votre concessionnaire et lui en réclamiez la valeur à neuf.


Vous allez vous lever et dire : Non mon vieux! Si tu casses, tu paies!


Pas au Québec! Au Québec, dans ce paradis de justice sociale féministe : la femme casse, l'homme paie.


Quand un homme se fait dire par sa conjointe qu'elle le quitte, c'est comme si son médecin lui annonçait un cancer. C'est le début d'une longue agonie. Une agonie que rien ni personne ne viendra soulager.


Au Québec, on s'émeut des réfugiés, des handicapés, des vieux, des femmes et des enfants, mais pas des hommes, pas des pères divorcés, pas des suicidés!


Non seulement ils perdront leur femme, leurs enfants, leur maison, leur salaire, leurs économies, mais à la moindre menace, au moindre haussement de ton, à la moindre contestation quant à l'éducation des enfants, ils pourront se retrouver derrière les barreaux.


S'ils augmentent leur salaire, ils devront payer plus, et cela, même si l'ex vit dans le luxe.


S'ils perdent leur emploi, ils seront soupçonnés de tentative volontaire de dérogation; comme la somme est due au gouvernement et non au conjoint, leurs avoirs pourront même être saisis. S'ils changent d'employeur ou d'adresse, ils seront tenus d'en avertir les autorités. Bref, l'homme divorcé au Québec entre immédiatement en libération conditionnelle; il devient de facto un criminel pour un crime que la conjointe à peut-être commis, sans reconnaissance de faute.


Un paradis pour les hommes ce Québec!


Alors, vous allez vous dire que vous ferez comme tous les Québécois: que vous allez travailler, travailler encore et vous sortir quelques filles sans jamais y risquer votre avenir; pas de mariage, pas d'enfant, pas de relation, le néant sentimental (en plus de l'hiver).


Bien! Bon choix! Mais est-ce à cela que vous pensiez en immigrant au Québec?


Vu donc que vous n'y serez jamais riche , cela vaut-il en plus la peine que vous n'y soyez jamais heureux?


Une fois dans le piège, vous ne vous en sortirez pas.


Vous n'êtes pas plus forts que les autres, et ils sont des milliers à avoir cru l'être.


Le Québec est malade de sa vie sociale, ne vous en approchez pas trop prêt, n'y laissez pas votre santé mentale et le bonheur que vous auriez pu trouver ailleurs!


Source

mardi 9 mars 2010

Fury at ruling in custody battle


Laurie Nowell

From: Sunday Herald Sun


January 10, 2010 1:22AM


A MOTHER found by the Family Court to be violent, untruthful, lacking moral values and responsible for the psychological and emotional abuse of her children has been given custody of them.


The father, deemed "principled" and with "much to offer his children", has been effectively banned from seeing his daughters.


The case will spark renewed debate about family law and the issue of shared parenting.


The father, who we will name "Bill" because he cannot be identified for legal reasons, is described by a Family Court judge as no threat to his daughters, a successful parent who is "courteous" and "intelligent".


The same judge found the mother, whom we will call "Jasmine" and who abandoned her first daughter at two and spurned the child's subsequent attempts at reconciliation, had displayed "dreadful", "cruel" and "malicious" behaviour.


But the judge still ruled that because of time spent apart, the children had become estranged from their father and it was in their interests that "the children spend no time with the father".


This was at odds with a ruling in February 2008 that Bill should have contact with his daughters.


But in last month's ruling, the judge said: "The necessity to preserve the children's physical, emotional safety and welfare is overwhelming. However unsatisfactory this outcome is for the father, it is the outcome most aligned with the children's best interests.


"In addition, it is the only outcome which will afford the girls the peace they require now while permitting some possibility of a relationship between the father, (the children) and their siblings in the future, however long term that may be."


But the judge added: "It is a sad fact in the family law jurisdiction that a determination which is most consistent with the best interests of the children can appear to reward bad behaviour on the part of one parent and work in apparent injustice for the well-motivated best performing parent."


Bill has not seen his daughters since April and has not spent extended time with them since August 2005.


He says the estrangement was largely a result of false allegations of sexual abuse of the children made against him by his former wife.


The custody ruling in the Family Court last month came after a seven-year battle over access to the girls, now aged nine and 11.


It followed a criminal trial in 2007, when Bill, 55, was cleared of the sexual abuse allegations. The trial judge found them totally false and threw the case out.


The ordeal has cost Bill his home, his job and about $450,000 in lost income and legal costs. He has faced court 70 times to clear his name and try for some form of access to his children.

"It has been a nightmare. All I wanted was to be part of my children's lives - to try to give them a good start in life," Bill said.


"But I am denied that because of the malicious way in which my ex-wife has acted and because of the credence the legal system has given her lies and falsehoods.


"The family law system needs wholesale change. There appears to be no testing of evidence in court and it seems that often lies and fabrications are immediately accepted as fact.


"It's a disgrace and, as far as I know, it doesn't happen in any other legal sphere."


Bill's case follows the case of "Steve" last year, in which the court accepted his good character, but banned him from seeing his daughter for seven years because it was believed the mother would "shut down" emotionally if he were allowed to see her.


In another case last year, a father, "Mick", was jailed for sending a birthday card to his daughter in breach of a court order and was locked up again for taking a walk in a park - near where, unknown to him, his daughter was playing.


Debate over the operation of family law has become heated over the past year with a new campaign seeking to overturn amendments to the Family Law Act brought in by the Howard government that have established the principle of "shared parenting" and effectively given fathers a better chance of having greater access to their children in custody disputes.


Historian and Family Court critic Prof John Hirst questions the underlying principles in family law.


"The Family Court by law has to make the children's interests paramount in divorce cases. Everyone thinks this is wise and proper, but to elevate one principle above all others can produce terrible results," he said.


"To stop mothers being tempted to make accusations of sexual abuse and so keep children to themselves, the law should state that any parent making false accusations of this sort will lose the right to be chief carer of the children. If a mother has so turned the children against the father that they don't want to see him, for a time at least the children should be taken into care.


"Even on the present test of child's best interests, it is hard to see how a child will benefit from being left with such a mother. She has burdened the child with the story that her father abused her.

mercredi 12 août 2009

Le vrai visage de la «modernité»



Il est une question dérangeante qui brule les lèvres de tout le monde dans ce débat actuel au sujet de la modification législative qui obligerait les cliniques privées offrant des services d'avortement à se doter d'un bloc opératoire. Cette question que personne n'ose poser dans ce contexte de rectitude politique est la suivante : « Est-il nécessaire et raisonnable de pratiquer 30 000 avortements chaque année au Québec seulement ? »

Combien de millions sont ainsi soustraits au budget du réseau de la santé et investis dans l'industrie de la mort ?

Est-ce l'avortement gratuit et librement accessible doit se substituer aux moyens de contraception négligés par des adultes irresponsables ?

Pourquoi ne pas retenir ici le principe du « three strikes, you're out » pour mettre un frein aux abus en semblable matière ?


Souvenons-nous qu'à l'origine, l'avortement ne devait être qu'un dernier recours, à n'être utilisé que dans les cas extrêmes et désespérés, des histoires d'inceste, de viol ou autres joyeusetés. Aujourd'hui, il se pratique dans le Québec contemporain des avortements qualifiés de tardifs faute de mieux, jusqu'au neuvième mois de la grossesse. Écoutez le Dr Jean-François Chicoine, pédiatre, faire des révélations au journaliste Normand Lester au «Journal du Midi» sur les ondes du 98,5 FM. Normand Lester n'hésite pas à qualifier ces actes barbares de «meurtre d'enfants». C'est ainsi que ce gouvernement de pleutres préfère investir l'argent public pour tuer les enfants Québécois de souche et importer à grands frais des petites chinoises orphelines.


Voilà le vrai visage de la «modernité»

Url court : http://bit.ly/1c1kphc

samedi 20 juin 2009

Aaron Russo sur l’origine du féminisme

Feminism - why the "patriarchy" always supported it








 

Cliquez sur l'image afin d'accéder à la vidéo

Une des questions que Nick Rockefeller m’a posée lors de cette rencontre fut la suivante : « D’après toi, quel était la véritable intention derrière l’avènement du mouvement de libération des femmes ? » Je lui ai répondu que les femmes cherchaient à obtenir des droits égaux sur le marché du travail, à obtenir un salaire égal pour un travail équivalent de la même manière qu’elles avaient obtenu le droit de vote. Sur ce commentaire, il a éclaté de rire et m’a rétorqué : « Tu es un idiot. » Et pourquoi suis-je donc un idiot ? « Je vais te dire quel était le véritable but derrière le mouvement d’émancipation des femmes. Ce sont nous de la fondation Rockefeller qui avons fondé ce mouvement. Nous l’avons fondé et en avons fait la promotion au moyen des journaux et des chaines de télévision contrôlés par la fondation Rockefeller. Il y avait deux raisons principales pour favoriser l’expansion de ce mouvement. Premièrement, nous ne pouvions soutirer de l’impôt sur les revenus de la moitié de la population avant l’avènement du mouvement de libération des femmes. Ensuite, depuis son avènement, les enfants fréquentent l’école et les garderies à un âge beaucoup plus précoce où il est possible de les endoctriner et de modeler leur conception du monde dès leur tout jeune âge en plus de détruire la famille traditionnelle. Les enfants considèrent maintenant l’état comme étant un substitut de la famille. L’école et l’autorité qu’elle représente se substitue désormais à la famille d’antan et les parents ont abandonné leur rôle d’éducateurs auprès de leurs progéniture. Voilà les 2 principales raisons derrière le mouvement de libération des femmes. » Initialement, je croyais qu’il s’agissait d’un mouvement noble mais lorsque j’ai compris leurs véritables intentions qui se tramaient en coulisse, l’origine du mouvement et l’idéologie qui le supporte, j’ai compris l’intension perverse dissimulée derrière un mouvement que je considérais auparavant comme noble …

Voici maintenant
le point de vue d'Alain Soral sur le même sujet 
Et, en complément d'information, la longue entrevue accordée à Alex Jones par Aaron Russo peu de temps avant son décès .

Url court : http://bit.ly/1gIDEeQ

samedi 23 mai 2009

Le fumier des écuries judiciaires !


"Quand vous voyez tout le fumier qui sort des écuries judiciaires, vous appelez ça la justice?"

Décidément, Réjean Tremblay, journaliste chevronné de la Presse, n'y va pas par quatre chemins pour fustiger les mauvaises actrices à l'œuvre dans la saga judiciaire imposée à Guy Lafleur. Est-ce à dire que le grand public commence enfin à se réveiller devant l'imposture quotidienne servie par les clowns facétieux drapés en toge de juge?


Ces arrogants magistrats, tous membres de la secte du Barreau qui regroupe et honore de suspects personnages, sèment le chaos dans la société en rendant des décisions qui frisent parfois l’imbécillité sans jamais encourir de conséquences pour leurs délits. Ces décisions absurdes deviennent subséquemment de la jurisprudence qui contribue à détériorer encore davantage la scène judiciaire. Parmi mes têtes de turc préférées figure en bonne place la juge Sophie Bourque qui n’en fini plus de commettre des impairs. Les observateurs attentifs de la scène judiciaire se souviennent de l’affaire Raymond Ellis dans laquelle il y a eu mort d’homme tandis que les présumés meurtriers, tous membres notoires des gangs de rues, ont été relâché dans la nature suite à la décision saugrenue de la juge Bourque
de mettre un terme au procès parce que le procureur de la Couronne, Louis Bouthillier, lui avait menti au sujet de la preuve exhibée pour incriminer les accusés. Les curieux pourront lire ici un excellent résumé de la situation Affaire Raymond Ellis : Quand couronne et police ne font qu'un. Contrairement à M. Lafleur, nulle part, il ne fut question de traduire en justice ce petit procureur véreux aux mœurs douteuses malgré la gravité de la situation. Cette même juge Bourque a également mis fin aux procédures dans le dossier du meurtrier Marcel Talon parce que « l’État doit respecter sa parole » et ce en dépit du fait que Talon avait avoué 2 meurtres…

Cette liste des impairs attribuables à cette juge « féministe » n’a rien d’exhaustif. Pour clore ce sujet, même le dernier quidam qui n’a jamais mis les pieds dans une salle de cour sait que le verdict représente le moment crucial de tout procès, tout particulièrement lorsque la décision est rendue par un jury de citoyens. Or, lors de ce curieux procès présidé par Sophie Bourque, le public médusé constate que le verdict en question (à la minute 3.02 sur l’enregistrement) est… inaudible ??? De plus, contrairement à ce qu’enseignent la doctrine et la jurisprudence, la juge Bourque omet de répéter ce verdict, se contentant de l’entériner. Sachant que cette juge a passé 12 ans de sa vie à enseigner le droit à l’école du Barreau du Québec, cette grossière bourde ne peut avoir été commise par inadvertance.


La mode actuelle au sein de l’appareil gouvernemental consiste à lancer des commissions d’enquête à propos de tout et de rien. La justice étant le pivot central d’une société élaborée sur des principes de droit, le temps presse de mettre sur pied une véritable commission d’enquête sur l’administration de la justice au Québec. À défaut, le désordre procédural risque fort de s’installer en permanence avec les conséquences que l’on devine des plus néfastes pour l’ensemble de la collectivité.

jeudi 21 mai 2009

Pédophilie à la DPJ


Dans cette nouvelle, le journaliste dans un commentaire anonyme, laconique et lapidaire prend beaucoup de précaution afin d'éviter d'aborder les vrais questions. Il s'agit d'une intervenante au service de la DPJ, ces voleurs d'enfance, qui a profité de sa position d'autorité pour assouvir ses bas instincts de pédophile sur 3 adolescents. Il semble que la dame pédophile puisse jouir de sa pleine liberté d'ici le prononcé de la sentence prévu le 30 septembre...

Qu'est-ce qui justifie un tel délai ? La petite dame a plaidé coupable après tout. Les paris sont ouverts quant à la lourdeur de la peine à purger. Gageons que Isabelle Duchesne écopera de quelques heures de travaux communautaires dans un autre de ces centres inutiles de bonnes femmes, ou même un CPE... La réalité nous enseigne en effet que la justice "made in Québec", c'est à la fois le tout et son contraire.

Brisons le mensonge


Dans ce court vidéo (Anglais) élaboré à partir des commentaires du chroniqueur Tim Hartford livrés récemment sur les ondes de la très sérieuse BBC, nous apprenons, sans grande surprise, que les chiffres véhiculés au sujet des « victimes » de violence domestique depuis les premières campagnes de sensibilisation destinées à contrer le phénomène ne reposent en réalité que sur de vagues suppositions lorsqu'il ne s'agit pas carrément d'une invention de toute pièce. Une fois l’imposture livrée le plus sérieusement du monde sur la place publique par le biais des médias de masse et il faut bien l'avouer, de la propagande gouvernementale d'une misandrie répugnante, les chroniqueurs et les journalistes de tout acabit s’en donnent à cœur joie pour diffuser l’information erronée sans jamais avoir l'initiative d'en évaluer la crédibilité ou de vérifier la fiabilité de la source. C’est ainsi que les mythes naissent… et finissent par être dénoncés pour ce qu’ils sont, c'est-à-dire des fabulations de féministes aveuglées par leur idéologie qui n’ont aucune réticence à mentir pour l’avancement de « la cause ».




Ces commentaires courageux détonnent dans l’univers médiatique où règne en maître le politiquement correct. Ils ont été diffusés par une chaine reconnue pour son conservatisme et son asservissement aux diktats de la modernité. Le vent de la raison serait-il en train de balayer la place publique du mensonge féministe ? Verra-t-on un jour les journalistes à la solde de groupe Québécor, de l’empire Gesca ou de la SRC emboîter le pas ? À mon humble avis, ce n’est qu’une question de temps car la vérité finit toujours par triompher sur le mensonge, si gros puisse-t-il être…

Url court : http://is.gd/dNYlWP

lundi 27 avril 2009

Censure et répression

« Il y a une régression exponentielle de la liberté d’expression en France et c’est fait au nom soi-disant de la protection des minorités en danger ».


« La liberté que vous avez, c’est celle de vous lever le matin, de travailler comme employé de bureau et, avec ce maigre argent que vous avez gagné, de faire les magasins le samedi. Là, il y a toute liberté y compris pour acheter des cassettes pornos, des vibromasseurs. La liberté de la transgression sexuelle par contre est parfaitement autorisée en autant qu’elle débouche sur de la consommation et non pas sur la sexualité réelle parce que…


Essayez d’appliquer la liberté sexuelle dans le monde réel, en allant aborder une femme, en lui proposant une partouze à la sortie de la messe, vous allez voir que un peu ce qui vous arrive, vous vous retrouvez directement au tribunal et en prison ! »


Alain Soral

jeudi 6 novembre 2008

La modernité

En naviguant naïvement sur la toile, il nous arrive parfois de croiser des perles rares.

Dans un contexte électoral que Charest nous impose, de gré ou de force, il ne faut pas négliger le rôle d'Internet

Élection présidentielle: Internet joue un rôle prédominant

Demeurons dans le domaine des perles rares. En voici une autre, mais d'une texture bien différente.

Qui nous protège contre ceux qui doivent nous protéger ?

Dans cette révoltante histoire d'une fillette de 5 ans
décédée après des mois d'abus
selon la version livrée à un jury à Winnipeg,
l'intervention de la
DPJ locale nous glace le sang...
Girl, 5, endured months of abuse, Winnipeg jury told

Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001