mardi 12 mai 2009

La nouvelle Gestapo



Brian Myles, journaliste affecté aux affaires judiciaires au quotidien Le Devoir s’interroge dans une série d’articles sur la relation souvent trouble qui lie le crime organisé et la police en relatant l’histoire d’un homme d’affaire du nom de James Morrison prétendument piégé à la fois par la police et les membres du tristement célèbre clan Matticks. Sans la moindre hésitation, j’affirme haut et fort qu’il n'existe aucune raison de faire confiance à la police corrompue dont les agissements relèvent davantage des pratiques mafieuses que du droit commun.

À titre d’exemple, chaque année, des milliers d'hommes, pères de famille en relation de couple, se font arrêter sans mandat sur la base de simples allégations et sans que la police n’ait l’initiative d’effectuer la moindre enquête pour évaluer la véracité de ces affirmations. J'ai été personnellement victime de semblables malversations que je n’aurais jamais crues possible dans une société qui respecte la primauté du droit. Les ripoux sont venus m'arrêter en pleine nuit, dans mon sommeil, sans mandat après que la mère de mes enfants eût quitté le domicile familial sans aviser personne pour aller se faire ramoner la cheminé par un amant de passage qui lui avait infligé une sucette dans le cou. Embarrassé par la trace compromettante qui allait révéler sa tricherie adultère, cette dernière, avant de regagner le domicile familial a fait appel aux services de police en se plaignant de « violence conjugale »…

La sucette en question est d’ailleurs la seule mention de "violence conjugale" présente dans le rapport de police sans que ces derniers ne se donnent la peine de documenter le suçon sur support photographique comme ils ont pourtant l’obligation de le faire lorsque des traces physiques d’agression sont apparentes. Par la suite, les policiers sont venus mentir effrontément à la cour qui, sans la moindre preuve digne de ce nom, a prononcé un verdict fallacieux de culpabilité assorti d’une peine de 50 $ ! Depuis cette première incursion dans le domaine bien tordu de la justice kafkaïenne telle que pratiquée au Québec, jamais je n’ai pu entrevoir ne serait-ce que l’ombre du spectre de la justice. Les policiers, qui obéissent aux ordres comme des petits caniches dociles occupent le premier rang dans ce théâtre burlesque qui se déroulent devant des clowns drapés en toge de juge dont la seule fonction semble être de couvrir les malversations des policiers qui agissent comme les agents de la Gestapo à une autre époque. De cette sinistre réalité, bien peu de médias osent l’aborder car elle contrevient à la rectitude politique et au discours idéologique de certains groupes de pression.

« Vous devriez avoir honte, M. Leblond, de déshonorer ainsi votre profession et trahir votre serment d'office. Mais présentement, une seule pensée me console, c'est de savoir que la vérité finit toujours par triompher et que même l’Allemagne Nazi a fini par s’effondrer! » C'est ainsi que Claude Leblond, le dernier juge crapuleux de la basse-cour du Québec, a été informé verbalement par l'accusé condamné sous de fallacieux prétextes du sort qui l'attend lorsque ce régime ordurier va s'effondrer.

URL de cette page http://bit.ly/hsTTgs

3 commentaires:

bisbilloe100 a dit...

Merci pour ces commentaires et ces liens que je publie à nouveau sous forme abrégé cette fois.

http://bit.ly/okPCdc

http://bit.ly/omgJna

Les hommes sont ainsi traités comme les juifs à une autre époque dans la même indifférence généralisée.

Anonyme a dit...

Bje suis une femme et bien souvent je n'arrive pas à croire ce que les autres femmes font subir aux hommes ni combien le machiavélisme de celles-ci est si bien protéger par tant de faux partisans ou de faux complices dans tous ces vices... J'ai honte d'être une femme parfois... Le pire c'est que ces femmes épousent les meilleurs, elles sont si manipulatrices que nous les vraies et candides on ne peux que s'astreindre à attendre et à espérer que lorsque ceux-ci se sauront soigné vers nous ils sauront regarder... Bon courage aux hommes qui sont eux aussi victimes de biens des violences... La violence ne l'oublions pas a bien des visages et prend plus d'une forme et surtout n'est pas que le prérequis des hommes maintenant bien des femmes s'en servent dans des buts peut dignes d'elles-mêmes...

Anonyme a dit...

Je suis à 100% encore derrière toi Hermil !

J’ai sombré pendant 5 ans dans une dépression profonde et n’avait le goût de parler à personne suite à mon passage à la maison de transition du Boul. St-Laurent suite à ma peine de prison.

Rejoins-moi à ma nouvelle adresse courriel qui est la suivante: dradeb088@outlook.fr et on échangera plus commodément

Salutations !

Daniel Bédard

Est-ce que les juges méritent l'immunité accordée dans l'exercice de leur fonction?

La vérité, toute la vérité sur les attentats du 11 septembre 2001